Cap sur le Maroc
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Cherchant depuis plusieurs années à s’implanter dans le Bassin méditerranéen, le groupe français Caisse d’Épargne étudie la possibilité d’acquérir la marocaine CIH (Crédit immobilier et hôtelier). En proie à des difficultés financières le taux de ses créances
douteuses dépasse 50 % des encours et ses pertes s’élevaient, en 2003, à 1,12 milliard
de dirhams (100 millions d’euros) , le CIH doit être privatisé. Si l’opération se réalisait, l’établissement serait scindé en deux et l’Écureuil deviendrait actionnaire de la banque allégée de ses créances douteuses.
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