BMW Série 1 : quel caractère

Publié le 19 juillet 2004 Lecture : 1 minute.

La Série 3 Compact avait ouvert la voie. À cette 3 portes sans grande imagination succède aujourd’hui une 5 portes homogène : la Série 1. À partir du 18 septembre, cette dernière viendra concurrencer des berlines telles que l’Audi A3 directement visée la Peugeot
307, l’Alfa Romeo 147 et la Renault Mégane dans leurs définitions les plus élevées.
La Série 1 est une propulsion, solution qui, pour BMW, est la plus à même d’encaisser la puissance sans compromettre la sécurité, d’ailleurs renforcée par l’électronique
(contrôle de trajectoire).
La Série 1 est séduisante, avec son long capot, ses flancs joliment dessinés et son
arrière façon break de chasse. L’ensemble est d’autant plus dynamique que les roues
déportées aux quatre coins, avec de faibles porte-à-faux, assoient solidement la voiture
sur le bitume. L’intérieur, avec la planche de bord orientée vers le conducteur, est bien conçu, sauf que la qualité des matériaux n’est pas à la hauteur. On aurait aussi aimé plus de place pour les passagers arrière, et que leurs portières s’ouvrent plus largement.
Du côté des moteurs sont disponibles les 115 et 150 ch essence (116 et 120i) et les 122 et 163 ch diesel (118 et 120d). Un 118i de 130 ch s’y ajoutera en décembre.
Le 120i que BMW a mis à notre disposition constitue un bon choix par sa douceur de fonctionnement, sa tenue de route sans faille et sa direction ultraprécise.
Sans aucun doute, cette petite nouvelle a du caractère. Il lui reste à s’imposer, malgré
son prix élitiste, dans une catégorie où on ne se fait pas de cadeaux.

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