Au Maroc, Taqa résiste à la crise
Touchée dans un premier temps par la panique qui a saisi la Bourse de Casablanca, la filiale marocaine du géant émirati Taqa relève la tête : tant que l’approvisionnement en charbon se poursuit, la centrale thermique de Jorf Lasfar continue à produire.
![Centrale thermique de Jorf Lasfar © Taqa Morocco](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/03/26/taqa-morocco.png)
Centrale thermique de Jorf Lasfar © Taqa Morocco
À la Bourse de Casablanca, l’action Taqa Morocco, qui a vacillé pour plonger en-dessous les 700 dirhams (65 euros) le 18 mars, dans le sillage de la panique généralisée qui a frappé les marchés au cours de la dernière quinzaine, a fini par remonter à 795 dirhams ce 26 mars. Les analystes estiment en outre que les fondamentaux de l’entreprise lui permettront de repasser prochainement la barre des 900 dirhams, soit presque à son niveau d’avant-crise, l’action s’échangeant 954 dirhams le 28 février. Ce qui fait du producteur d’électricité – filiale de l’émirati Taqa – l’une des valeurs les plus résilientes du marché marocain.
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