En Algérie, la filière automobile se cherche encore

Si la cour d’appel d’Alger a confirmé, le 25 mars, les peines de prison d’Hassen Arboui et Mohamed Bairi, deux ex-patrons de l’industrie automobile algérienne, ces condamnations pénales ne résolvent pas le problème d’une filière automobile en panne sèche.

Usine Renault à Oran © Renault

Usine Renault à Oran © Renault

ProfilAuteur_ChristopheLeBec

Publié le 27 mars 2020 Lecture : 3 minutes.

Présentées par leurs avocats comme des « sentences politiques », les condamnations par la Cour d’appel d’Alger, ce 25 mars, d’Hassen Arbaoui et de Mohamed Bairi, respectivement à quatre et trois ans de prison, marquent un nouvel épisode de l’affaire dite des « fausses usines automobiles » en Algérie.

Patron de Global motors industries (GMI), le premier était le partenaire industriel de Hyundai en Algérie. Quant au second, vice-président du Forum des chefs d’entreprise, organisation patronale pro-Bouteflika, il dirigeait Ival, l’importateur des camions du constructeur italien Iveco.

Des concessionnaires devenus « assembleurs automobiles »

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Contenus partenaires