Qui ouvre les portes de l’Afrique à Jack Ma ?

Depuis qu’il a fait don de millions de masques et de matériel médical en mars, le milliardaire Jack Ma, 17e fortune mondiale, selon le magazine américain Forbes (40,9 milliards de dollars), est devenu le visage de l’aide chinoise en Afrique. Mais le patron d’Alibaba n’a pas attendu la pandémie de coronavirus pour s’intéresser au continent. 

Jack Ma, fondateur du groupe Alibaba, et Abiy Ahmed, e Premier ministre éthiopien, le 25 novembre 2019 à Addis-Abeba. © AP/Sipa

Jack Ma, fondateur du groupe Alibaba, et Abiy Ahmed, e Premier ministre éthiopien, le 25 novembre 2019 à Addis-Abeba. © AP/Sipa

Publié le 8 avril 2020 Lecture : 3 minutes.

Depuis sa première visite au Rwanda et au Kenya, en 2017, Jack Ma travaille à la mise en place d’un écosystème numérique capable d’offrir, dans plusieurs années, un environnement propice au développement de son groupe Alibaba.

Désormais dégagé de toutes fonctions exécutives au sein du groupe de e-commerce qu’il a créé, il se consacre à ses fondations, Jack Ma et Alibaba. Il a annoncé vouloir allouer 100 millions de dollars sur dix ans en subventions et programmes de formation pour soutenir l’écosystème entrepreneurial africain.

Son implication personnelle est très appréciée et lui permet d’avoir ses entrées chez certains chefs d’État et de gouvernement, parmi lesquels le Rwandais Paul Kagame, l’Éthiopien Abiy Ahmed, le Kényan Uhuru Kenyatta et le Ghanéen Nana Akufo-Addo. Mais sur qui s’appuie-t-il pour accéder aux palais présidentiels ?

Bien s’informer, mieux décider

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