Après leur rachat de M-Pesa, quelle stratégie pour les partenaires Vodacom et Safaricom ?
Les deux filiales du britannique Vodafone viennent de finaliser le rachat du service de mobile money M-Pesa, via une coentreprise. Ils disposent désormais de toute latitude pour le développer et l’introduire sur de nouveaux marchés.
![Des clients attendent devant un comptoir M-Pesa à Nairobi, en août 2011. © Sayyid Abdul Azim/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2016/08/19/sipa_ap21081146_000003.jpg)
Des clients attendent devant un comptoir M-Pesa à Nairobi, en août 2011. © Sayyid Abdul Azim/AP/SIPA
La collaboration entre Vodacom et Safaricom est de plus en plus étroite. Après s’être ensemble porté candidat à l’une des futures licences d’opérateurs télécoms en Éthiopie, la filiale panafricaine du britannique Vodafone et l’opérateur kényan dont Vodacom est le principal actionnaire viennent d’annoncer la finalisation du rachat des droits d’exploitation de M-Pesa via la création d’une coentreprise.
Le coût de l’opération est estimé à 1,4 milliard de shillings kényans, soit plus de 12 millions d’euros.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- À la demande d’Alassane Ouattara, João Lourenço nouveau médiateur pour le Sahel ?
- Est de la RDC : Corneille Nangaa, l’histoire d’un apprenti rebelle
- Au Cameroun, Paul Biya songe-t-il toujours à autoriser la double nationalité ?
- Roland Dumas et l’Afrique : des plaidoiries au scandale
- Sonangol obtient le feu vert d’Alassane Ouattara pour la vente de ses parts dans la SIR