Gabon : pressions et isolement pour Brice Laccruche Alihanga et ses codétenus
Placés à l’isolement et privés de visite, les détenus de l’opération anticorruption Scorpion, dont Brice Laccruche Alihanga, espèrent voir s’accélérer la procédure et l’instruction. Mais la pandémie de coronavirus n’arrange pas les choses.
![Brice Laccruche Alihanga (BLA), l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba (ABO). © DR](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/04/14/jad20200414-conf-laccruche.jpg)
Brice Laccruche Alihanga (BLA), l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba (ABO). © DR
Selon nos informations, les autorisations de visite ont été suspendues pour les détenus des prisons gabonaises depuis le 16 mars, en raison de la pandémie de coronavirus. À la prison centrale de Libreville, l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, Brice Laccruche Alihanga (BLA), son frère Grégory et les autres détenus de l’opération Scorpion n’ont donc plus aucun contact avec leur famille ou leurs avocats.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »