L’italien Enel en quête d’un partenaire pour ses projets africains
En dépit de la pandémie de coronavirus qui touche de plein fouet ses activités, le producteur italien d’électricité maintient son objectif d’accélération vers l’énergie renouvelable sur le continent.
![Champ éolien de Nojoli en Afrique du Sud © Enel Green Power](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/04/20/enel-green-power.jpg)
Champ éolien de Nojoli en Afrique du Sud © Enel Green Power
Alors qu’Enel projette d’accroître ses projets éoliens et solaires à travers le continent, le géant italien est en quête d’un partenaire financier à même de racheter jusqu’à 50 % de son activité dans les énergies renouvelables en Afrique.
Fort d’un chiffre d’affaires de 80,3 milliards d’euros en 2019 (en hausse de 6,1 % par rapport à l’année précédente), l’énergéticien a commencé sa recherche d’un partenaire bien avant l’épidémie de coronavirus et la poursuivra malgré tout, rapportent nos confrères de Bloomberg. Le groupe italien a en effet provisionné de longue date l’impact de « la cession à un tiers d’une participation minoritaire dans plusieurs sociétés » sur le continent, peut-on lire dans les résultats d’Enel publiés fin mars.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus – Économie
- RDC : des minerais de sang aux minerais de paix
- Présidence de la BAD : Bassirou Diomaye Faye, arbitre des ambitions sénégalaises
- Pourquoi Alassane Ouattara a limogé Adama Coulibaly, patron du Conseil du coton et de l’anacarde
- La question nationale au cœur de l’économie gabonaise
- Les pétrodollars émiratis affluent en Afrique, mais à quel prix ?