Libye : ONU cherche médiateur désespérément
Alors que sa nomination comme représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en Libye était sur le point d’être bouclée, l’ancien ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra a définitivement renoncé au poste.
![Ghassan Salamé, l’ancien envoyé spécial de l’ONU en Libye, à Tunis, le 28 décembre 2018. © HAMMI/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/04/21/jad20200421-conflibyeonusalame-photo2.jpg)
Ghassan Salamé, l’ancien envoyé spécial de l’ONU en Libye, à Tunis, le 28 décembre 2018. © HAMMI/SIPA
Choix personnel du secrétaire général de l’ONU António Guterres, l’option Lamamra avait été validée par l’Union africaine (UA), notamment à l’occasion de la réunion des instances onusiennes et panafricaines, à la mi-mars à Oyo (Congo-Brazzaville). Ramtane Lamamra est déjà le haut représentant de l’UA pour « faire taire les armes ». Selon nos informations, l’Élysée avait aussi accordé son appui à la candidature de l’Algérien, qui entretient de bonnes relations avec le président français Emmanuel Macron.
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