Mise au point
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Nous avons reçu de M. Kouassi Salé, d’Abidjan, la mise au point suivante :
« Dans la rubrique confidentiel de Jeune Afrique/ l’intelligent n° 2244 (11-17 janvier 2004), en page 8 (« Côte d’Ivoire : plainte auprès d’un juge parisien »), il est écrit ceci : « Un particulier, Salé Kouassi, et « dix mille autres victimes de la guerre » en Côte d’Ivoire ont déposé une plainte, etc. ». Je tiens à préciser que je n’ai jamais déposé de plainte contre qui que ce soit. Par contre, j’ai demandé à Me Hamza Attea de suivre mes intérêts relatifs à ma villa de Bouaké. Celle-ci est occupée par un chef de guerre des ex-rebelles et sa famille. Or il se trouve que les biens immobiliers, dans cette ville, font l’objet de transactions (vente) de la part des occupants qui se les sont appropriés. Je souhaite obtenir que ma villa me soit restituée après la guerre, avec son contenu. »
Nous donnons bien volontiers acte à notre correspondant de cette précision.
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