Les six « incidences »
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1. Libération des détenus du mouvement citoyen.
2. Arrêt des poursuites judiciaires.
3. Règlement du contentieux avec la Sonelgaz (les arouch avaient appelé la population à ne plus régler leur facture d’électricité pour protester contre la couverture des événements par la télévision algérienne).
4. Réintégration des travailleurs des entreprises publiques licenciés pour leur participation à des mouvements de grève lancés par les arouch.
5. Allègements fiscaux pour les commerçants, artisans et industriels ayant pâti de la crise.
6. Dissolution des assemblées locales élues en octobre 2002.
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