Engie pourrait se retirer d’une douzaine de pays africains

D’ici à 2021, l’énergéticien prévoit de réduire son activité dans 25 pays, selon un plan global de cessions d’actifs d’un montant de 4 milliards d’euros.

À Tarfaya, 131 turbines de 80 mètres de hauteur alimentent la centrale. © Engie

À Tarfaya, 131 turbines de 80 mètres de hauteur alimentent la centrale. © Engie

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Publié le 14 mai 2020 Lecture : 2 minutes.

Après la présentation des résultats du premier trimestre 2020 du groupe énergétique français Engie, des détails sur son plan de cessions d’actifs pour un montant de 4 milliards d’euros sur la période 2020-2022, dévoilé fin février, ont été révélés. Un plan global, qui touche désormais 25 pays dans le monde d’ici à 2021, a indiqué l’énergéticien le 12 mai.

Engie envisagerait dans ce cadre de sortir « d’une douzaine de pays d’Afrique ». L’Europe et l’Asie étant les autres régions les plus concernées par le recentrage d’Engie, a appris Reuters de sources proches du dossier et de syndicats. Pour rappel, le groupe présidé par Jean-Pierre Clamadieu était encore présent dans 70 pays dans le monde à fin 2019, employant environ 171 000 personnes, dont 77 150 en France.

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