Un film à Kaboul

Publié le 14 novembre 2003 Lecture : 1 minute.

Le plus grand cinéma de Kaboul (Afghanistan), l’Ariana, renaîtra de ses cendres en janvier prochain, après une fermeture de dix ans. Cette réouverture, dont le coût est estimé à près de 1,2 million d’euros, est possible grâce au soutien de professionnels français, comme Hughes Dewavrin, Danièle Thomson, Patrice Chéreau ou encore Claude Lelouch, qui ont créé l’association « Un cinéma à Kaboul ». L’Ariana, doté de 600 places, deviendra ainsi la salle la plus moderne d’Asie centrale. « Les Afghans sortent d’un cauchemar et le meilleur moyen de les éduquer, c’est de leur redonner une part de rêve. Je ne connais pas meilleur moyen de retrouver le rêve qu’en allant au cinéma », s’est réjouit Claude Lelouch, réalisateur français et président de l’association.

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