Décennie capitale
Le 10 mai, dix ans exactement après son entrée en fonction comme premier président noir de l’Afrique du Sud, et aux premiers jours du second mandat de son successeur Thabo Mbeki, Nelson Mandela s’est adressé aux deux chambres du Parlement réunies. Soulignant la menace que représente le sida pour l’Afrique du Sud, il a fait l’éloge de la « capacité de bonté » qui a permis à des « ennemis historiques de négocier une transition pacifique de l’apartheid à la démocratie ». Quelques semaines plus tôt, il avait publié dans le Sunday Times de Johannesburg l’article que nous reproduisons ci-dessous, dans la traduction de Courrier international. Son biographe, Anthony Sampson, analyse le « modèle exceptionnel » qu’est le pays Arc-en-Ciel.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise