Nouvelle charge d’Isabel dos Santos contre la justice angolaise
La femme d’affaires présente de nouveaux éléments accusant les autorités de Luanda d’avoir utilisé des documents falsifiés pour geler ses actifs.
![Isabel dos Santos aux côtés de son époux Sindika Dokolo, au Portugal en mars 2015 (photo d’illustration). © Paulo Duarte/AP/Sipa](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/01/25/sipa_ap22415395_000002.jpg)
Isabel dos Santos aux côtés de son époux Sindika Dokolo, au Portugal en mars 2015 (photo d’illustration). © Paulo Duarte/AP/Sipa
C’est la deuxième salve lancée contre la justice angolaise. Deux semaines, jour pour jour, après une première charge. Dans un communiqué publié ce mardi 26 mai, Isabel dos Santos, la fille de l’ancien président José Eduardo dos Santos, lance un nouveau coup de boutoir contre le gel préventif de ses avoirs décrété fin décembre 2019 par l’Angola.
La femme d’affaires, affaiblie depuis la révélation mi-janvier des zones d’ombre de son empire financier dans le cadre des « Luanda Leaks », accuse une nouvelle fois le procureur angolais de s’être appuyé sur des documents « falsifiés » pour geler ses actifs, bien qu’une décision similaire ait été également prise en février par la justice portugaise.
Une lettre des services de renseignements
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »