Entre Rabat et Alger, les tensions persistent. Pour créer un climat de confiance et poser les bases d’une entente durable, historiens, chercheurs et intellectuels des deux pays doivent s’impliquer.
Arrivée en tête lors des législatives du 23 juillet, la droite espagnole se cherche des alliés pour gouverner, sous le regard attentif de Rabat. En jeu : le soutien au plan d’autonomie que le Maroc a présenté pour résoudre le conflit du Sahara occidental.
Sur le continent, des régimes autoritaires sont vent debout contre les idées progressistes et restreignent la liberté d’expression. Pour Amr Abbadi, chercheur en sciences politiques à l’université d’Orléans, il faut travailler à l’épanouissement d’une pensée critique.
Imbroglio autour de la participation du Maroc à la Chan 2023 en Algérie, rupture des relations diplomatiques entre les deux pays, fermeture des frontières terrestres depuis bientôt trois décennies… Les relations entre Rabat et Alger sont toujours aussi tendues. L’unité maghrébine et l’essor économique de la région dépendent pourtant de la fin de leurs querelles.