Habitat, équipements publics, zones d’activité, réseaux de communication, de distribution d’énergie, d’eau… Le pays ne cesse de se transformer. De plus en plus rapidement. Et, au vu des travaux en cours, la métamorphose est loin d’être achevée.
Malgré la conjoncture mondiale, qui affecte la plupart de ses partenaires, le pays est optimiste. Après un fléchissement en début d’année, les implantations et les investissements étrangers se poursuivent. Dans certains secteurs, ils s’accélèrent.
À un mois de l’échéance présidentielle, retour sur les mandats de Zine el-Abidine Ben Ali. Le chemin parcouru par le pays en vingt-deux ans en matière de développement économique et humain est considérable.
Les nouvelles mesures prises par Alger en matière d’investissements étrangers ont freiné l’implantation de certains entrepreneurs tunisiens dans le pays. À quand la préférence fraternelle ?
Des espoirs suscités par la chute de la monarchie à la normalisation des relations avec la communauté internationale, en passant par les dérives d’un régime unique en Afrique, les années Kadhafi sont pour le moins chaotiques. Et l’avenir, avec en toile de fond la bataille pour la succession, demeure une énigme.
Avec l’entrée en vigueur de l’accord sur la gestion concertée des migrations, de nouvelles perspectives s’offrent aux Tunisiens désireux de s’expatrier en toute légalité. La lourdeur du dispositif, toutefois, en décourage plus d’un.
Après une hausse de 64 % l’an dernier, les investissements directs étrangers se sont encore accélérés au cours du premier trimestre 2009. Le nouveau plan stratégique permettra-t-il de pérenniser cette tendance ?
Le fils « réformateur » du colonel Kadhafi est manifestement allé trop loin au goût de son père. Qui a décidé de donner un coup d’arrêt à sa montée en puissance.