Chercheur postdoctoral au Sahel Research Group de l’Université de Floride, titulaire d’un doctorat en science politique de l’Université d’Ottawa (Canada)
Depuis plus de dix mois, le Hirak a mis le pays en ébullition. Et la politique étrangère algérienne a autant besoin de renouveau que la politique intérieure. En particulier au Sahel, où les défis sécuritaires n’ont cessé de se multiplier avec la chute de Kadhafi, en 2011, le début de la crise malienne, en 2012, et les violences dans le Liptako Gourma.