Pour les Nord-Africaines, la pratique d’un sport n’est pas toujours simple. Entre le poids de la tradition, l’influence de la religion et le manque de moyens, les difficultés sont multiples. Mais les choses évoluent. Pas assez vite, au goût de certains…
La Fédération gabonaise de Football (Fegafoot) a signé à Doha un partenariat avec le Qatar. Une coopération de cinq ans consacrée au développement de la pratique du football au Gabon.
Dirigeants de clubs, joueurs, présidents de fédérations ou hommes d’affaires contribuent à faire tourner le ballon rond dans le continent. Sélection de dix figures incontournables du jeu footballistique africain.
L’Union sportive de la médina d’Alger (USMA), un des plus grands clubs algériens, détenu depuis 2010 par le groupe d’Ali Haddad, ETRHB, va être racheté par la société Serport. En coulisses, l’État algérien a encouragé l’opération.
Opérations financières douteuses, virements en Estonie ou en Pologne, paiements en liquide, subventions de la Fifa difficiles ou impossibles à tracer, problèmes de gouvernance… L’audit du cabinet britannique PwC n’est pas tendre pour la Confédération africaine de football (CAF).
Le président de la Fifa multiplie les interventions à propos du football africain, qu’il veut placer au centre de l’échiquier mondial. Mais sur le continent, la stratégie de l’Italo-Suisse intrigue, quand elle n’agace pas franchement.
La proposition du président de la FIFA Gianni Infantino d’organiser la Coupe d’Afrique des nations (CAN) tous les quatre ans ne fait pas l’unanimité chez les professionnels africains du football. Didier Drogba, lui, s’est dit favorable à cette idée.
Alors que la saison 2019-2020 est loin d’être terminée, 40 coachs sur 64 ont déjà été remplacés dans les clubs des quatre principaux championnats nord-africains (Algérie, Maroc, Tunisie, Égypte). Les causes de ce ballet incessant sont sportives, mais aussi sociologiques et politiques.
Plusieurs pays africains ont décidé de construire ou de rénover des stades, afin de pouvoir organiser des compétitions internationales ou des événements culturels. Mais dans certains d’entre eux, les coûts engagés font grincer les dents. Tour d’horizon.
La décision de Rabat d’organiser la CAN 2020 de futsal à Laâyoune, au Sahara occidental, a provoqué la colère d’Alger et le forfait de l’Afrique du Sud. Face à la polémique, le premier vice-président de la Confédération africaine de football (CAF), Constant Omari, a justifié la position de son organisation.
Les ennuis judiciaires d’Ali Haddad, ancien patron des patrons algériens, font toujours peser d’importantes répercussions économiques sur le club de football de l’Union sportive de la médina d’Alger (USMA). L’arrivée d’un sponsor majeur, Serport, soulage la formation algéroise, mais tout n’est pas réglé.
La capacité du Cameroun à accueillir la Coupe d’Afrique des nations en 2021 suscite toujours des interrogations. Une délégation de la Confédération africaine de football (CAF) est arrivée à Yaoundé lundi pour évaluer la situation.
Sadio Mané, deuxième de ce classement en 2018 derrière Mohamed Salah, s’octroie la première place. Il devance l’Algérien Riyad Mahrez, Mohamed Salah, Hakim Ziyech et Ismaël Bennacer. Zoom sur les cinq joueurs qui ont fait 2019, et qui feront sans nul doute 2020.
L’ex secrétaire général de la Confédération africaine de football (CAF) Amr Fahmy a décidé de se porter candidat à la présidence de l’instance sportive. Limogé en 2019, sur fond de scandale à la CAF, l’Égyptien vient de démarrer sa campagne pour une élection en 2021.
L’Espérance sportive de Tunis, qui fait partie des meilleurs clubs africains, s’appuie sur différentes sources de revenus pour atteindre ses objectifs. Les Sang et Or peuvent compter sur leurs succès sportifs, mais aussi sur tout le système économique s’est mis en place tout autour.
La fédération ghanéenne de football a procédé à une purge massive auprès des différentes sélections nationales. Tous les staffs techniques ont en effet été limogés, de même que James Kwesi Appiah, jusqu’à présent sélectionneur des Black Stars.
Le Camerounais Grégoire Ndjaka, directeur général de l’Union africaine de radiodiffusion (UAR), suit de près les bouleversements audiovisuels sur le continent. Il rappelle que l’organisation qu’il dirige entend veiller au réalisme des droits de transmission TV des matchs de la CAN et du CHAN.
De belles surprises, une fin de carrière pour un immense joueur, un sélectionneur acclamé, mais aussi une CAF en difficulté, un football camerounais jamais apaisé et un triste conflit entre un club et un joueur… Retour sur une année 2019 riche et animée pour le football africain.
Vainqueur de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) en Égypte, l’Algérie s’installe logiquement à la première place du classement 2019 des sélections nationales. Les Fennecs, qui succèdent au Maroc, devancent notamment le Sénégal, le Nigeria, la Tunisie et Madagascar.
Le Soudan a lancé le 30 septembre dernier le premier championnat de football féminin de son histoire. Une révolution dans ce pays qui s’ouvre depuis la chute de l’ex-président Omar El-Bechir, et qui ne va pas sans susciter quelques réticences.
L’un joue en Irak, les autres évoluent en Syrie ou en Libye, des pays où la situation sécuritaire reste très fragile. Portraits du Tunisien Kaïs Yaâkoubi et des Gabonais Stévy Nzambé et Franck Obambou, qui ont choisi de vivre de leur passion du ballon rond dans ces zones à risques.
Le Sénégalais Sadio Mané, quatrième du classement Ballon d’or France Football 2019, a été victime, selon plusieurs voix, d’une véritable injustice. Certains crient même au scandale, évoquant une discrimination anti-africaine.
Philippe Masseguin, qui avait cofondé avec Pascal Feindouno le magazine « Afrique Foot Guinée » et qui fut notamment le photographe officiel du mythique club de l’AS Saint-Étienne, est décédé vendredi soir.
Le TP Mazembe affrontera ce samedi, à Lubumbashi, un autre mastodonte du football, le Zamalek SC (Égypte). Retour sur la trajectoire le club congolais qui s’est hissé, au cours de ses 80 années d’existence, parmi les meilleurs d’Afrique.
Fondateur de l’Observatoire du sport business, le Français Vincent Chaudel revient sur la rupture par la Confédération africaine de football (CAF) du contrat médias et marketing qui liait cette dernière à Lagardère. Pour ce spécialiste, l’instance n’a pas agi sans avoir préparé ses arrières.
La Fifa a lancé un appel d’offres pour acquérir les droits de retransmission télévisée des deuxième et troisième tours des qualifications à la Coupe du monde de football 2022. L’annonce fait notamment suite à la rupture par la CAF du contrat qui la liait jusqu’en 2028 au groupe Lagardère.
De nombreux sélectionneurs ont critiqué le dense calendrier imposé par la Confédération africaine de football (CAF) pour les deux premières journées de qualifications pour la Coupe d’Afrique 2021, qui se déroulent jusqu’au mardi 19 novembre, dénonçant une santé des joueurs reléguée au second plan.
Le 14 novembre, Didier Drogba a multiplié les déclarations qui ne laissent plus planer le moindre doute : l’ancien capitaine des Éléphants sera bien candidat à la succession d’Augustin Sidy Diallo à la tête de la Fédération ivoirienne de football (FIF).
L’attaquant de la RDC Meschak Elia, qui évoluait au TP Mazembe, devait être « prêté » au club belge RSC Anderlecht. Mais l’opération ne s’est jamais concrétisée, et le joueur, actuellement en Suisse, est en conflit avec son ancien club, qui a porté plainte contre lui.
La Confédération africaine de football (CAF) a répondu à Lagardère, qui avait fustigé la décision de l’instance de rompre le contrat qui liait les deux parties jusqu’en 2028.