Le 1er juillet, l’attaquant sénégalais deviendra propriétaire de ce petit club qui évolue en National 2, l’équivalent de la quatrième division française. Il nourrit des ambitions sportives, mais aussi sociales et économiques.
Lamine Yamal, né en Espagne d’une mère équato-guinéenne et d’un père marocain, est un phénomène de précocité. À 16 ans, l’attaquant est déjà titulaire au FC Barcelone, qui affrontera le PSG ce mercredi en Ligue des champions, et en sélection espagnole, bien que le Maroc ait espéré qu’il choisisse les Lions de L’Atlas.
Les dates de la Coupe d’Afrique des nations 2025 organisée par le Maroc ne sont pas encore connues. La Confédération africaine de football (CAF) doit en effet composer avec un calendrier surchargé qui réduit les créneaux.
Le Maroc, qui organisera la Coupe d’Afrique des nations 2025 et la Coupe du monde 2030 (avec l’Espagne et le Portugal), a lancé les travaux de rénovation de ses principaux stades. Et va même en construire un, gigantesque, près de Casablanca.
Plusieurs acteurs du football camerounais ont de nouveau saisi le Tribunal arbitral du sport. Ils demandent la suspension de Samuel Eto’o, le président de la Fecafoot, et d’une partie de son Comité exécutif.
Plusieurs sélections africaines, partiellement ou entièrement composées de joueurs musulmans, ont décidé de se rendre au Maroc lors de la trêve internationale (du 18 au 26 mars), en plein ramadan.
Prévue le 30 novembre dernier, l’élection du nouveau président de la Fédération tchadienne de football association avait été annulée. Mais ses discussions avec le gouvernement, la Fifa et la CAF ont permis d’aboutir à un accord pour que le scrutin se déroule rapidement et que le football tchadien sorte de la crise.
Né en Espagne d’une mère espagnole et d’un père marocain, Brahim Diaz, le milieu de terrain du Real Madrid, a décidé de jouer pour le Maroc, après avoir porté le maillot de la Roja. Le résultat d’une longue entreprise de séduction menée par Walid Regragui et Fouzi Lekjaâ.
La Fecafoot a suspendu des joueurs ayant menti sur leur âge ou leur identité. Parmi eux, Wilfried Nathan Doualla, qui avait été sélectionné pour la CAN en Côte d’Ivoire. L’affaire peut-elle rebondir jusqu’à la CAF ?
La Fédération algérienne de football (FAF) a choisi Vladimir Petkovic pour succéder à Djamel Belmadi à la tête de la sélection nationale. Un choix qui suscite déjà des commentaires divers et variés.
Depuis le 29 février et la non-reconduction du contrat de Rigobert Song, le Cameroun n’a plus de sélectionneur. Son successeur pourrait s’appeler António Conceição, que Samuel Eto’o avait limogé après la Coupe d’Afrique des nations 2022. Ou Hugo Broos, vainqueur de la CAN en 2017 avec les Lions indomptables.
Dans un courrier adressé au Premier ministre congolais, le club star de Lubumbashi accuse l’ANR de compliquer à dessein les déplacements des joueurs, et le gouvernement de lui faire payer sa proximité avec l’opposant Moïse Katumbi.
Qui prendra la tête de la sélection nationale algérienne ? Confronté à un choix délicat, Walid Sadi, le président de la fédération, devrait rapidement mettre fin au suspense. En attendant, plusieurs noms circulent.
En fin de contrat le 28 février, Rigobert Song, le sélectionneur des Lions indomptables, pourrait ne pas être reconduit. Or ce n’est plus Samuel Eto’o, le président de la Fecafoot, mais le chef de l’État qui aura le dernier mot quant au choix de son successeur.
Le mandat de Wadie Jary, président de la FTF incarcéré depuis le 26 octobre dernier, va prendre fin le 9 mars prochain. Son successeur devra rapidement nommer un nouveau sélectionneur pour l’équipe nationale.
La Fédération algérienne de football (FAF) n’est pas seulement à la recherche du successeur de Djamel Belmadi, elle doit aussi faire face à une situation financière compliquée, qui va obliger l’État à (re)mettre la main à la poche.
Patron de la Confédération africaine de football depuis mars 2021, le Sud-Africain n’est pas officiellement candidat à sa succession. Mais il vient de faire un important geste financier à l’égard des fédérations du continent.
La conquête de la troisième CAN, le 11 février à Abidjan face au Nigeria, est avant tout un succès collectif de la Côte d’Ivoire. Mais plusieurs joueurs ont activement participé à cette folle aventure à domicile, qui restera dans les annales du football africain. Jeune Afrique en a retenu six.
La Côte d’Ivoire est devenue championne d’Afrique pour la troisième fois en battant le Nigeria (2-1) en finale de la CAN, le 11 février à Abidjan. Le sélectionneur des Éléphants avait été nommé le 24 janvier pour succéder à Jean-Louis Gasset, en pleine compétition. Un pari gagnant pour ce technicien novice, au terme d’un scénario inimaginable il y a encore un mois.
Né à New York d’un père français et d’une mère ivoirienne, le joueur de football américain a remporté dans la nuit du dimanche 11 février le prestigieux Super Bowl avec l’équipe des Kansas City Chiefs pour la deuxième fois consécutive.
Ce 11 février face au Nigeria, les Éléphants disputeront la finale de la Coupe d’Afrique des nations, après avoir frôlé le pire au premier tour. Les Ivoiriens visent un troisième titre continental, neuf ans après leur sacre à Malabo.
La Côte d’Ivoire est en demi-finale, chez elle, après avoir éliminé miraculeusement le Mali le 3 février. Pour cela, ils devront battre ce 7 février la RDC, invaincue depuis le début de la compétition, et qui fait preuve d’une grande maîtrise.
Pour la première demi-finale de la CAN ce mercredi à Bouaké, les Super Eagles seront favoris face aux Bafana Bafana. Mais ils savent déjà qu’il leur faudra se méfier d’un adversaire solide et hermétique.
À 30 ans, William Troost-Ekong a déjà joué dans onze clubs et vécu dans sept pays. Mais le capitaine des Super Eagles nigérians est aussi un footballeur sensible à la cause environnementale.
Ce 2 février, la Guinée va disputer son premier quart de finale en Coupe d’Afrique des nations depuis 2015, face à la RDC. Le Syli national, qui ne fait pas beaucoup parler de lui, espère enfin franchir un palier et atteindre le dernier carré d’une compétition aussi spectaculaire que surprenante.
L’Algérie et la Tunisie éliminées au premier tour, l’Égypte sortie en 8e de finale… Le Maroc, qui affronte l’Afrique du Sud ce 30 janvier à San Pedro, reste la seule sélection nord-africaine toujours en lice à la CAN.
Les Éléphants ont vécu un premier tour compliqué, qui s’est tout de même achevé par une qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des nations (CAN). Ce 29 janvier, à Yamoussoukro, ils vont affronter le Sénégal, un tenant du titre serein, mais méfiant.