Ebola oblige, le Syli a dû jouer tous ses matchs de qualification pour la CAN 2015 à l’étranger. Ibrahima Traoré, le vice-capitaine de la sélection guinéenne revient sur ce parcours difficile et sur les ambitions de son équipe en phase finale.
Disqualifiée lors des éliminatoires, la Guinée équatoriale va finalement être du tournoi. Mais plusieurs affaires sont venu écorner son image ces dernières années.
Alors que la CAN a débuté samedi 17 janvier, « Jeune Afrique » a demandé à quatre spécialistes du football africain de livrer le nom de leur favori pour la compétition. En ressortent quatre équipes – Algérie, Ghana, Cameroun, Sénégal – qui entrent en lice lundi 19 et mardi 20.
Le Nigeria, tenant du titre, ne sera pas là, et une bonne demi-douzaine de sélections peuvent prétendre à sa succession. Avec, dans le costume du favori, l’Algérie. Suspense assuré !
Une organisation confiée au débotté à la Guinée équatoriale, de grandes équipes éliminées, quelques qualifiés inattendus… Du coup d’envoi au match final, la 30e Coupe d’Afrique des nations promet bien des surprises. Et un jeu plus ouvert que jamais.
Déjà connus ou en quête de reconnaissance, certains joueurs vont profiter de la CAN 2015 pour tenter de frapper les esprits. Jeune Afrique en a sélectionnés dix, toutes nationalités confondues.
Approché par la fédération équato-guinéenne pour diriger le Nzalang Nacional lors de la CAN (17 janvier-8 février), le Nigérian Stephen Keshi a décliné la proposition. Il explique pourquoi à « Jeune Afrique ».
À environ trois semaines du coup d’envoi de la CAN 2015 en Guinée équatoriale (17 janvier-8 février), les seize qualifiés vont entamer leur préparation. Et quelques sélections ont déjà pris un peu d’avance sur les autres.
Auteur d’un Mondial brillant et d’un début de saison tonitruant avec le FC Porto, le milieu de terrain offensif de l’Algérie a été élu meilleur joueur africain 2014 par la BBC.
Né en France mais d’origine congolaise (RDC), Fabrice N’Sakala avait effectué les démarches pour porter le maillot des Léopards. Mais Anderlecht, le club belge qui l’emploie, lui a mis la pression pour qu’il reporte son projet. Et il ne verra pas la Guinée équatoriale…
Le 23 août dernier, quelques minutes après la rencontre entre la JS Kabylie et l’USM Alger (1-2), l’attaquant camerounais de la JSK Albert Ebossé (24 ans) trouvait la mort à la sortie du terrain. L’avocat français de sa famille, Me Jean-Jacques Bertrand, conteste la version du club, après avoir consulté le rapport de l’autopsie pratiquée à Douala le 11 septembre, que « Jeune Afrique » reproduit en bas de cette interview.
Des valeurs sûres, des révélations et des come-back inespérés… Alors que la fin de l’année approche, certains joueurs africains squattent le haut du classement des buteurs des principaux championnats européens. « Jeune Afrique » revient en images sur ces joueurs incontournables que l’on devrait retrouver en Guinée équatoriale pour la CAN 2015 (17 janvier-8 février)…
Alors que le tirage au sort de la phase finale de la CAN 2015 (17 janvier-8 février) a eu lieu le 3 décembre au soir à Malabo (Guinée Équatoriale), les seize qualifiés ont pour la plupart bien avancé sur leur programme de préparation, et notamment l’endroit où ils effectueront leur stage. Et Abou Dhabi (Émirats arabes unis) sera un endroit particulièrement couru…
L’attribution controversée à la Russie et au Qatar des Coupes du monde de 2018 et de 2022 n’en finit pas de susciter des remous. Seul candidat pour l’instant déclaré à la présidence de la Fifa, le Français Jérôme Champagne exige plus de transparence. Interview.
La qualification de la RDC est une surprise. Celle du Congo un exploit. Pour la première fois depuis 2000, les deux voisins participeront ensemble à une phase finale de la CAN, en Guinée Équatoriale (17 janvier-8 février), et dont le tirage au sort a lieu le 3 décembre à Malabo. Florent Ibenge, le sélectionneur des Léopards découvrira la compétition alors que Claude Le Roy, celui des Diables Rouges, l’a déjà vécue sept fois… Interview croisée.
Approché par Bastia (France, Ligue 1), Hervé Renard, le sélectionneur de la Côte d’Ivoire, n’est plus certain de rester à la tête des Éléphants. À cause, selon nos informations, de crispations avec la fédération autour d’une des clauses de son contrat.
Nommé juste après le glorieux Mondial des Fennecs, le successeur du bouillant Vahid Halilhodzic n’avait jusque-là jamais dirigé de sélection nationale. Pour un coup d’essai, c’est un coup de maître.
Né à Bruxelles de parents originaires de RD Congo, Yannis Mbombo (20 ans), prêté par le Standard Liège à Auxerre (Ligue 2), a été approché par Florent Ibenge, le sélectionneur des Léopards. Et l’hypothèse de jouer pour la RDC ne laisse pas indifférent le jeune attaquant.
Alors qu’on ne sait pas encore où se déroulera la CAN 2015 (17 janvier-8 février) après la disqualification du Maroc, quelques grands noms du continent vont jouer une bonne partie de leur avenir dans la compétition lors de la 5e journée des éliminatoires.
La Confédération africaine de football (CAF) a annoncé mardi que le Maroc n’organiserait pas la CAN 2015. Et cherche maintenant un remplaçant au pied levé.
Les footballeurs originaires des pays touchés par l’épidémie sont durement stigmatisés lors des rencontres qualificatives pour la Coupe d’Afrique des nations. Témoignages.
Nommé sélectionneur de l’Algérie au mois de juillet dernier, Christian Gourcuff (59 ans) dirige pour la première fois de sa carrière une équipe nationale. Le technicien français, qui a qualifié les Fennecs pour la CAN 2015 après seulement quatre matchs en phase éliminatoire, a longuement répondu aux questions de « Jeune Afrique ».
Lundi après-midi, les nouveaux champions d’Afrique fêtaient dans une ville de Sétif en ébullition leur sacre obtenu samedi face à l’AS Vita Club (2-2, 1-1). Avant de prendre l’avion à Alger, l’attaquant El Hedi Belameiri, meilleur buteur de la Ligue des Champions (6 buts) et auteur d’une passe décisive à Blida, est revenu sur ce deuxième titre de l’histoire de l’ESS.
Si l’avenir de la CAN 2015 (17 janvier-8 février) se jouera dans les prochains jours, les joueurs potentiellement concernés par la compétition commencent à s’exprimer. Et ceux que Jeune Afrique à interrogés ne voient pas l’idée d’un report au mois de juin d’un œil hostile.
Alors que le sort de la CAN 2015 doit se jouer début novembre, Jeune Afrique a demandé à plusieurs acteurs du football africain de s’exprimer sur son potentiel report. Et leurs avis ne sont pas toujours aussi tranchés que ceux des internautes…
Les milieux de terrain Guy Lusadisu – qui a remporté deux fois le trophée avec le TP Mazembe – et Toufik Zerara sont deux des hommes forts de l’AS Vita Club et de l’ES Sétif, qui s’affronteront dimanche à Kinshasa en finale aller de la Ligue des Champions (retour le 1er novembre). Interview croisée, à l’occasion de ce sommet africain inattendu et prometteur.
Alors que de nombreux médias annoncent la décision du Maroc de ne pas organiser la CAN 2015, prévue du 17 janvier au 8 février, Mohamed Ouzzine, le ministre des Sports du royaume, a démenti ce qui est qualifié de « rumeur. »
Transféré à West Ham en août dernier, l’attaquant sénégalais s’est taillé une belle réputation de buteur à Metz, qu’il a aidé à accéder à la Ligue 2, puis à la Ligue 1. Ce joueur au parcours un peu atypique a réussi son entrée dans le difficile championnat anglais (3 buts, dont le dernier dimanche). Mais Alain Giresse ne l’a pas retenu en sélection… pour l’instant.