Comme avant chaque grande compétition internationale, le Maroc accueille une série de matchs amicaux joués par des sélections africaines, la fédération royale ayant noué de nombreux partenariats sur le continent.
L’attaquant algérien Andy Delort avait décidé « de faire une pause » avec la sélection nationale en octobre 2021. Après s’être excusé, le joueur a été rappelé pour les matches amicaux face à la Guinée et au Nigeria. Mais son retour ne fait pas vraiment l’unanimité.
Selon le quotidien britannique The Times, l’Arabie saoudite, l’Égypte et la Grèce sont sur le point de déposer une candidature commune pour accueillir la Coupe du Monde 2030.
Mamadi Doumbouya a fait de l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations 2025 une « priorité nationale ». Mais beaucoup d’indices laissent désormais à penser que la Confédération africaine de football (CAF) pourrait la lui retirer…
La Tunisienne Ons Jabeur s’est inclinée le 10 septembre en finale de l’US Open face à Iga Swiatek, la numéro 1 mondiale. Malgré cette défaite, l’année 2022 sera à marquer d’une pierre blanche pour celle qui est devenue la première Africaine à se hisser au deuxième rang mondial.
Le mercato estival s’est révélé particulièrement animé pour plusieurs joueurs africains. Avec la Ligue des champions et la Coupe du monde qui s’annoncent, leur valeur pourrait encore évoluer.
Alors que la Fédération camerounaise de football a rompu son contrat avec Le Coq Sportif au profit d’un autre équipementier, des photos de maillots dessinés par la société française en vue de la Coupe du Monde au Qatar qui se tiendra à la fin de l’année créent la confusion.
Depuis la diffusion d’une vidéo surréaliste de Mathias Pogba, celui-ci s’oppose à Paul, son benjamin, joueur de la Juventus et champion du monde de football avec la France. Leur mère, elle, a déjà pris parti.
L’ancien international marocain Walid Regragui, 46 ans, a été choisi pour succéder à Vahid Halilhodzic, limogé au début du mois d’août, à un peu plus de trois mois du Mondial au Qatar (20 novembre-18 décembre).
Lors de sa visite officielle au pays des Fennecs, Emmanuel Macron, grand amateur de ballon rond, a relancé l’idée d’une rencontre amicale entre les deux pays. Il a promis d’évoquer prochainement le sujet avec son homologue algérien, Abdelmadjid Tebboune.
Après plusieurs mois de litige, le Tribunal arbitral du sport a validé l’élection de Samuel Eto’o à la tête de la Fecafoot. Mais pour l’ex-international, le répit pourrait n’être que de courte durée.
À trois mois du début de la Coupe du monde, le président de la Fédération camerounaise de football a choisi One All Sports pour équiper les Lions indomptables. Une décision qui étonne, la société américaine étant inconnue dans le milieu du football.
« La folie des transferts » (6/6). Samuel Eto’o s’est fait connaître en Espagne. Mais avant de signer au Real Madrid, il a vécu quelques semaines en France, dans des conditions rocambolesques.
« La folie des transferts » (5/6). C’est par un glacial soir de janvier 2012 que le génie sénégalais du football fit son entrée en Ligue 2. Le début d’une épopée européenne qui se poursuit désormais au Bayern Munich, où le champion d’Afrique vient de signer.
« La folie des transferts » (4/6). Grâce à une décision égyptienne, Joseph-Antoine Bell est recruté en 1985 par l’Olympique de Marseille. Il y devient un des meilleurs gardiens du championnat et y rencontre un certain Bernard Tapie.
« La folie des transferts » (3/6). En 1983, le footballeur qui évolue au NA Hussein-Dey, quitte l’Algérie pour la première fois de sa carrière. Remarqué lors de la Coupe du monde 1982, l’attaquant des Fennecs signe au Racing Club de Paris présidé par le milliardaire français, Jean-Luc Lagardère.
Après la déroute de son équipe nationale de football lors de la dernière CAN, le pays s’est choisi un nouveau sélectionneur en la personne du Français, un habitué du continent africain. Retour sur une nomination aussi rapide qu’agitée.
« La folie des transferts » (2/6). En juin 1981, le jeune attaquant François Zahoui quitte Abidjan et son club du Stella d’Adjamé pour Ascoli. L’Ivoirien devient ainsi le premier joueur africain à évoluer dans le championnat d’Italie.
« La folie des transferts » (1/6). En 1967, le jeune attaquant malien Salif Keïta quitte clandestinement son pays pour aller effectuer un essai à Saint-Étienne. Déjà considéré comme une star au Mali, il va devenir l’un des meilleurs joueurs du championnat de France.
La période du mercato estival est devenue un incontournable de l’actualité footballistique. Dans un passé plus ou moins récent, de nombreux Africains sont venus en Europe tenter une aventure sportive et humaine jamais gagnée d’avance. Jeune Afrique vous propose de revisiter six transferts mémorables.
Aurelio De Laurentiis a annoncé qu’il n’engagera plus de joueurs africains, sauf s’ils acceptent de renoncer à participer à la Coupe d’Afrique des nations. Une déclaration polémique qui relance un vieux débat.
La Fédération camerounaise de football, après avoir unilatéralement décidé de cesser sa collaboration avec Le Coq Sportif, est en discussion avec trois marques. Coulisses.
Limogeages en série, changement d’équipementier, omniprésence médiatique… Depuis son arrivée à la tête de Fédération camerounaise de football, Samuel Eto’o est un président très actif. Trop, selon ses détracteurs.
Les autorités congolaises, qui se sont séparées de l’Argentin Hector Cúper, ont dû passer à la caisse. Le Sud-américain, qui réclamait 600 000 euros d’indemnités, n’a pas eu autant qu’il espérait…
Le football algérien a un nouveau patron : Djahid Zefizef, jusque-là manager de la sélection nationale A, qui l’a emporté face à Abdelhakim Serrar. Il succède à Charaf-Eddine Amara.
À la veille de l’élection du président de la Fédération algérienne de football (FAF), le 7 juillet, tout les voyants sont au vert pour Djahid Zefizef. À moins que son unique concurrent, Abdelhakim Serrar, ne crée la surprise.
La Coupe d’Afrique des nations 2025 doit avoir lieu en Guinée. Mais le pays a accumulé de nombreux retards, et des doutes émergent sur sa capacité à accueillir la compétition.
Les championnats professionnels ont repris le 14 mai, après plus de deux années d’interruption. Mais alors que les joueurs ont été longtemps privés de revenus, beaucoup ont décidé de quitter le métier.
Le titre du quotidien sportif espagnol daté du lundi 27 juin est vivement critiqué sur les réseaux sociaux. Le tollé est tel que le journal a été obligé de tenter de s’expliquer.
