Avec « Le Tambour des larmes », le romancier mauritanien Beyrouk signe un texte envoûtant dans lequel les femmes paient cher leur liberté d’aimer et où le monde nomade doit faire face à la modernité.
David Cameron souhaite le maintien de son pays au sein de l’Union européenne. Mais la majorité des membres de son parti y est opposée. La partie s’annonce serrée jusqu’au référendum du 23 juin !
Pour enrayer la baisse du prix du baril, qui les frappe de plein fouet, l’Arabie saoudite, la Russie, le Qatar et le Venezuela ont décidé de geler leur production. Seront-ils suivis ?
Élu en mai 2015 à la tête de la Banque africaine de développement, le Nigérian nourrit de grandes ambitions pour le continent. Ses priorités : l’énergie et l’agriculture.
Mohamed El Hadi Macina, secrétaire général du ministère mauritanien de l’Intérieur et de la Décentralisation depuis treize ans, a été arrêté et incarcéré le 12 février.
La « maladie hollandaise » dont souffre le Gabon depuis des décennies le met en danger au moment où l’effondrement des cours du pétrole sous la barre des 30 dollars nécessiterait le renfort d’autres secteurs.
Sa reconquête de l’Élysée paraît mal engagée ? Nicolas Sarkozy contre-attaque en publiant un livre en forme de mea culpa qui cartonne en librairie. Il y recense ses erreurs, jure qu’il n’est plus celui qu’il a été et esquisse les grandes lignes de son futur programme. Belle opération de com.
Paris s’apprête à adosser son outil d’aide bilatérale à la Caisse des dépôts et consignations. Parmi les objectifs visés : augmenter ses financements internationaux en faveur du climat.
Quand les cours du pétrole s’effondrent, c’est toute l’économie « bolivarienne » qui implose : pénuries, hyperinflation, récession… Pourtant, battus aux législatives de décembre 2015, les chavistes refusent d’abandonner une once de pouvoir. Et le spectre de la guerre civile rôde.
Le gouvernement remanié en septembre 2015 ne semble pas avoir donné satisfaction au président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz. Mardi 9 février, celui-ci l’a retouché à nouveau.
Décès de son fils préféré, impossible dialogue avec l’opposition, effondrement des recettes minières… Face à l’adversité, Mohamed Ould Abdelaziz garde le silence.
Trois ans après sa création, le projet en est toujours à ses balbutiements. Pour l’aider à attirer les investisseurs, la Banque mondiale apporte son expertise stratégique – et un peu d’argent.
Sur les 41 millions d’enfants en surpoids ou obèses, un quart sont africains, constate l’OMS dans un rapport publié le 25 janvier. Sur le continent, leur nombre a presque doublé entre 1990 et 2014, passant de 5,4 millions à 10,3 millions.
Ce n’est pas que le Bénin aille mal. Avec une croissance de 5,2 % en 2015 et peut-être de 5,5 % en 2016, selon les estimations du FMI, son économie progresse enfin au rythme du reste de l’Afrique subsaharienne.
L’effondrement des cours des matières premières – et pas seulement du pétrole – est un sérieux signal envoyé à l’Afrique. Il lui faut d’urgence trouver de nouvelles ressources.
Présidente d’honneur du courtier d’assurances Ascoma, Patricia Husson préside le Club des entrepreneurs monégasques en Afrique (Cema) depuis sa création, en mai 2014.
La croissance régresse, le chômage explose, les investissements étrangers reculent, le moral des patrons est en berne. Pourquoi le bilan du chef de l’État est-il aussi calamiteux ?
Ancienne journaliste contestataire, la ministre de la Culture veut faire du patrimoine le ciment d’une nation encore traumatisée par de vieux conflits intercommunautaires.
L’Afrique participe à la COP 21, mais elle n’a pas le feu sacré de l’Europe pour les énergies renouvelables, car celles-ci demeurent chères et difficiles à maîtriser.
Administrateur délégué de la banque Martin Maurel Sella, Frédéric Geerts livre sa vision du continent. Et rêve d’un plan concerté européen qui soutienne ses grands projets.
Dix ans après le début du règne d’Albert II, la principauté est économiquement en pleine forme. Elle cultive sa particularité d’être à la fois un État et une sorte d’entreprise résolument tournés vers le continent.
Alors que les attentats de Paris ont révélé les failles sécuritaires de l’Europe, comment le continent, qui conjugue à la fois une grande habitude et une vraie impuissance, lutte-t-il contre les groupes jihadistes ? L’exemple mauritanien.
À la tête du gouvernement princier, le ministre d’État revient sur les résultats économiques du Rocher, son retour à une dynamique vertueuse, et sur l’évolution de ses relations avec le continent africain.
L’action de la principauté est passée du caritatif à une véritable aide au développement, ciblée sur dix pays du continent et dotée d’un budget de 16 millions d’euros.
Gao, Kidal, Tombouctou : trois régions à la traîne, qu’il est urgent de sortir du dénuement. En tirant le meilleur parti de leurs ressources naturelles et en les désenclavant.
Quand ils ne leur sont pas favorables, les classements du FMI, de la Banque mondiale et consorts ont le don de les irriter. Après le Cameroun, le Rwanda ou la France, c’est le Sénégal qui fait la tête.
Nicolas Sarkozy a reconquis son parti, lui a donné un nouveau nom – Les Républicains -et tente de le mettre en ordre de bataille pour la présidentielle de 2017. Mais il a bien du mal à asseoir son autorité. Du coup, ses ex-vassaux se sentent pousser des ailes.
La conférence des bailleurs de fonds qui s’est tenue à Paris le 22 octobre n’a pas permis de réunir les sommes attendues. La France a promis 360 millions d’euros. En a-t-elle les moyens ?