À peine élu président de l’UMP, Nicolas Sarkozy s’attelle à renouveler le parti de fond en comble. Dans sa ligne de mire : l’organisation de la primaire et… l’Élysée. Mais Alain Juppé et François Fillon n’ont pas l’intention de lui laisser prendre le large.
Grâce à une croissance solide, à une inflation maîtrisée et à des projets audacieux, le pays a retrouvé des couleurs. Cependant, le taux d’endettement et la misère restent très élevés.
Le chef du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, est bien décidé à maintenir sa candidature pour sa propre succession à la tête du parti face à celle de l’ancien président Laurent Gbagbo, détenu à La Haye. Interview.
Les mauvaises nouvelles se succèdent, l’économie s’essouffle et le spectre de la récession menace. Mais Angela Merkel refuse d’infléchir sa politique. Louable opiniâtreté ou obstination suicidaire ?
L’économiste Makhtar Diop devait être le candidat de Dakar à la présidence de la Banque africaine de développement. Mais alors qu’il avait de grandes chances de l’emporter, il a décidé jeter l’éponge. Pourquoi ?
Croissance, bonne gouvernance, investissements… Pendant que le Maghreb fait la grimace, l’Afrique subsaharienne décolle. Des performances saluées par les experts du FMI et de la Banque mondiale, lors des assemblées générales de ces institutions.
La Fondation Mo Ibrahim, qui a passé au crible 52 pays africains, peint un tableau contrasté qui invite à la vigilance. Oui, le continent fait des progrès indéniables. Mais, même chez les meilleurs élèves, les acquis restent fragiles.
Condamner de la manière la plus nette les atrocités du prétendu État islamique ? Bien sûr, ça va de soi. Mais être en permanence sommé par les islamophobes de se « désolidariser » des barbares est assurément exaspérant.
Les élections du 14 septembre en Allemagne et en Suède ont été marquées par une spectaculaire poussée des partis populistes, xénophobes et antieuropéens.
Depuis son arrivée au ministère de l’Éducation nationale, cette icône de la gauche d’origine marocaine suscite la haine de l’extrême droite. Mais Najat Vallaud-Belkacem n’en a cure : elle est le membre du gouvernement le plus populaire.
Dans son « Rapport sur le commerce et le développement 2014 », publié le 10 septembre, la Cnuced incite les pays en développement, et en particulier l’Afrique, à accroître leurs revenus en taxant davantage les multinationales qui exploitent leurs sous-sols.
Le royaume va-t-il, oui ou non, devoir se séparer de ses terres du Nord, annexées en 1707 ? Le référendum d’autodétermination du 18 septembre en décidera. Une première en Europe.
Après l’éviction d’Arnaud Montebourg et des ministres frondeurs, le gouvernement Valls II va pouvoir mener une politique ouvertement sociale-libérale. Ce changement de cap peut-il lui permettre de retrouver la faveur des électeurs ? Dans l’immédiat, il va surtout provoquer de graves turbulences dans sa majorité.
S’estimant mal représentés dans les institutions de Bretton Woods, le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud ont créé leur propre banque de développement. Mais fort de son poids économique, Pékin pourrait bien faire la pluie et le beau temps dans cette alliance inégale.
En tranchant en faveur de deux fonds spéculatifs dans le conflit qui les oppose au gouvernement de Cristina Kirchner, le juge new- yorkais Thomas Griesa se doutait-il du séisme qu’il allait déclencher ?
Du 4 au 6 août, le président américain accueille le premier sommet États-Unis – Afrique des chefs d’État et de gouvernement. La Maison Blanche reconsidère-t-elle pour autant ses positions à l’égard du continent ?
Avis de tempête sur le navire amiral de l’opposition ! Ses cales sont vides, ses capitaines ne cessent d’échanger des coups bas et sa figure de proue, Nicolas Sarkozy, a maille à partir avec la justice. Pis, les Français n’y croient plus…
Pour être réélu, le Premier ministre va-t-il céder aux sirènes xénophobes et se résoudre à sortir de l’Union européenne ? Son pays aurait plus à y perdre qu’à y gagner.
Mis en examen le 2 juillet pour trois chefs d’accusation, dont celui de « corruption active », l’ancien chef de l’État français, Nicolas Sarkozy, souhaite malgré tout revenir dans la course à la présidentielle de 2017. Le pourra-t-il ?
Il y a six mois, il était au fond du trou. En dépit de la farouche opposition britannique, c’est bel et bien le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker qui prendra le 16 juillet la présidence de la Commission.
A priori, le club des six pays membres de la Cemac a tout pour réussir : une monnaie unique, une union douanière, des règles de convergence budgétaire… Et pourtant, ses échanges commerciaux restent faiblards.
Après deux déroutes électorales, le Parti socialiste français est à terre. Une quarantaine de députés n’hésitent pas à mettre en cause la politique de François Hollande. Jusqu’où ira cette fronde ?
Épargné par l’extrémisme religieux et l’explosion sociale qui ont touché d’autres pays du Printemps arabe, le royaume est néanmoins confronté à de nombreux défis : redressement des finances publiques, diversification de l’économie, réduction des inégalités… L’heure est aux réformes !
Face aux carences du système éducatif, des établissements privés voient le jour. Parmi eux, l’Université internationale de Rabat, qui souhaite former les jeunes à des métiers de plus en plus mondialisés.
Quatre cents milliards de dollars sur trente ans : c’est le montant vertigineux du contrat de livraison de gaz sibérien à la République populaire conclu fin mai. Pour Vladimir Poutine, c’est le moyen de faire savoir aux Occidentaux, inquiets de sa politique ukrainienne, qu’il se moque de leurs menaces de sanctions.