Estimant les pertes dans le secteur à plusieurs centaines de milliards de dollars, un rapport de l’Organisation des Nations unies table sur un retour à la normale en 2023.
Si les investissements étrangers en Afrique ont dégringolé en 2020 sur le continent, plusieurs secteurs (énergie, mines…) et un certain nombre de pays ont su tirer leur épingle du jeu.
L’ancien PDG d’Air France revient sur son rôle lors des missions d’apaisement et de dialogue en 1984 et 1988 dans un livre qui vient de paraître aux éditions Odile Jacob.
« Francophonie économique », présence réelle et perception du business français sur le continent, relations avec les « autres Afriques »… Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Raréfaction des espèces, dégringolade des prix… Devant les difficultés du secteur, le gouvernement compte sur de nouveaux accords avec ses partenaires chinois et européens.
Faut-il continuer à aider Kinshasa? Le Fonds monétaire international (FMI) répond par l’affirmative, avec un financement de 1,5 milliard de dollars. Mais le pays a encore fort à faire pour mettre à niveau sa gestion, son climat des affaires et ses infrastructures.
Ces ressources soutiendront une large variété de projets : de l’énergie à la santé, en passant par l’eau, les transports, les services financiers et la tech.
À la faveur de la crise, les cours des produits agricoles atteignent des niveaux très élevés, portés par la forte demande chinoise. La tendance devrait se confirmer d’après les conclusions du dernier rapport CyclOpe.
La France est le deuxième créancier de Khartoum. Si en majorité ces dettes sont dues à des pénalités de retard, le choix de Paris s’inscrit aussi dans un complexe effort diplomatique et économique. Le décryptage de Jeune Afrique.
Sortie de la crise du Covid-19, dette, franc CFA, priorités de l’aide au développement… Dans sa première grande interview à Jeune Afrique, le ministre français de l’Économie évoque les sujets brûlants de l’actualité franco-africaine.
Le groupe canadien, qui a enregistré des résultats record attend que les autorités mauritaniennes agissent contre les miniers artisanaux présents sur son site. Nouakchott leur a laissé jusqu’au 15 mai pour partir.
En 2020, la croissance du pays a même été revue à la hausse, à 5,2 %. Une surprise compte tenu de la conjoncture mondiale, et qui semble vouloir se confirmer cette année.
Épidémie mondiale, crise sécuritaire régionale, coup d’État et agitation sociale… Malgré tous ses déboires, le Mali devrait dès cette année connaître une embellie économique.
Les deux pays, qui bénéficient à la fois de gigantesques réserves gazières – dont l’exploitation est attendue en 2023 – et d’un potentiel solaire et éolien manifeste, élaborent un plan de route énergétique similaire qui doit leur permettre d’accélérer l’électrification et d’en baisser le coût.
D’après les estimations du Fonds, la production par habitant au sud du Sahara ne devrait pas retrouver le niveau de 2019 avant 2022. Quelques pays affichent néanmoins une croissance remarquable eu égard à la morosité de la conjoncture.
En 2020, dopée par la lutte contre les effets de la crise liée à la pandémie de coronavirus, l’aide au développement a atteint selon l’OCDE son plus haut niveau jamais enregistré.
L’Agence française de développement a également consacré plus de 4 milliards d’euros au continent africain afin de contrer les effets liés aux chocs sanitaire et économique.
Selon les prévisions du Fonds monétaire international, les pays nord-africains vont cette année connaître des fortunes extrêmement diverses. Grande morosité du côté de Tunis et d’Alger contre une nette reprise à Rabat et au Caire.
Moins dépendants des matières premières et relativement épargnés par la nouvelle vague de coronavirus, les pays côtiers de l’Afrique de l’Ouest devraient dépasser les 6 % de croissance en 2021.
Si la Banque mondiale, la Cnuced ou l’UA encouragent le continent à investir massivement pour réussir sa transition numérique, cette révolution pourrait ne pas être la panacée espérée, notamment en termes d’emplois.
À son CV impressionnant et à sa puissance de travail peu commune, la Dame de fer nigériane devra ajouter patience et art du compromis pour réformer en profondeur une institution clé en perte de vitesse. Elle entre en fonction le 1er mars 2021.
Alléger, voire annuler la dette, comme le prône le président sénégalais, ou flécher les capitaux vers les entreprises du continent, solution privilégiée par l’ancien patron franco-ivoirien de Credit Suisse ? Le débat sur la relance est ouvert.
Première Africaine à la tête de l’institution, la Nigériane devra déployer ses talents de négociatrice pour relancer une organisation bien à la peine. Voici ses chantiers prioritaires.
Jean-Louis Levet, nouveau délégué général de l’Association France Algérie, veut contribuer à la refonte des relations entre les deux pays. Sans se faire le porte-voix du Quai d’Orsay.
L’analyse des classifications montre qu’une moitié des États africains peuvent espérer émerger à moyen terme. Des constantes apparaissent qui désignent les mieux placés… pour l’instant.
Crise migratoire, Sahara, lutte antiterroriste… La ministre espagnole des Affaires étrangères Arancha González Laya revient sur les dossiers chauds entre son pays et le Maghreb.