Ce fut le leitmotiv de la campagne électorale de Bill Clinton en 1992. Vingt ans plus tard, l’économie américaine fera-t-elle une nouvelle fois la décision ? Ce serait une excellente nouvelle pour Barack Obama au moment où la conjoncture s’améliore.
Le Fonds monétaire international a vendu une partie de son stock d’or entre 2008 et 2010. La plus-value de cette opération devrait bénéficier aux pays les plus pauvres, sous la forme de prêts à taux zéro.
Réduction des dépenses publiques, remise en confiance du privé, accélération du développement rural… Le gouvernement sénégalais a du pain sur la planche pour remettre le pays sur les rails d’une croissance stable.
La banque Lazard a ouvert le 24 septembre un département consacré au marché subsaharien. Matthieu Pigasse, son directeur général délégué en France, vice-président pour l’Europe et responsable de cette nouvelle branche, explique pourquoi il croit aux « incroyables potentialités » du continent.
Pour le dernier volet de notre série sur les partenaires économiques de l’Afrique, focus sur les États-Unis. Malgré des bonnes nouvelles, le pays se trouve toujours dans une situation de conflagration potentielle, susceptible de plonger l’économie mondiale dans un trou noir.
En quatrième partie de la série sur les partenaires économiques de l’Afrique, retour sur la conjoncture chinoise. Un grand plan de construction d’infrastructures, évalué à 125 milliards de dollars, devrait profiter au continent.
Dans le troisième volet de sa série sur les relations économiques de l’Afrique avec le reste du monde, Jeune Afrique vous propose une analyse de la situation au Brésil.
Dans la série sur la situation des principaux partenaires de l’Afrique, Jeune Afrique s’intéresse aujourd’hui à l’Europe : dette et rigueur pèsent sur la croissance et ont déjà un impact sur les relations économiques avec le continent.
Alors que l’Afrique semblait sur la voie de la croissance, elle pourrait être touchée par la mauvaise santé de l’économie mondiale. Récession européenne, déficit américain et ralentissement chinois : le dynamisme africain est menacé de toutes parts. Chaque jour de la semaine, Jeune Afrique vous proposera une analyse sur chacun des grands partenaires de l’Afrique : Europe, Brésil, Chine et États-Unis.
Le cap des 3 millions de chômeurs est dépassé. En dépit des mesures conjoncturelles que le gouvernement s’apprête à adopter, la situation va continuer de se dégrader. Jusqu’au retour de la croissance.
Depuis quelques mois, la Chine, locomotive de l’économie mondiale, s’essouffle. Elle devrait bientôt repartir, sur un rythme plus modéré. C’est tout sauf une mauvaise nouvelle.
Mélès Zenawi s’est éteint le 20 août, après plus de vingt années au pouvoir. Ancien marxiste converti avec succès au capitalisme, il avait su charmer à l’étranger et demeurait particulièrement respecté. Mais restait un autocrate chez lui.
Le fonds américain Knight Capital a failli disparaître suite à une perte de 440 millions de dollars causée par une erreur informatique. L’affaire relance le débat sur la nécessité de contrôler les logiciels qui déterminent les cours de bourse.
Coupes claires dans les dépenses publiques, hausse vertigineuse du chômage, récession… Le gouvernement Rajoy n’a guère de prise sur les événements. Et l’Europe s’interroge : que faire de l’Espagne ?
La menace de plusieurs plans sociaux vient rappeler que le pays souffre d’une grave hémorragie d’emplois industriels. Les solutions pour en sortir sont compliquées.
Lors du sommet de Bruxelles, l’Allemagne, l’Espagne, la France et l’Italie ont fini par trouver un compromis. La zone euro est, au moins provisoirement, sauvée. Ouf !
Face à la crise qui frappe la zone euro et à ses conséquences sur leur économie, les Britanniques se laissent de plus en plus séduire par les sirènes de l’euroscepticisme.
Le Fonds monétaire international (FMI) ne tarit pas d’éloges sur la gestion de l’Autorité palestinienne. Pourtant, il vient de lui refuser une demande de prêt. Paradoxe ?
Alain Faujas est journaliste, collaborateur à Jeune Afrique. Le Rwanda est une Afrique un peu spéciale. Les rues de ses villes sont propres, la sécurité y est assurée, les services publics fonctionnent, la corruption y est rare. On peut être agacé par le pilotage autoritaire de ce pays où l’opposition est jugulée, mais, comme avec la Malaisie sous la férule de Mahathir ou la Côte d’Ivoire cornaquée par Houphouët-Boigny, il faut bien reconnaître que ce despotisme éclairé donne des résultats spectaculaires. Dans quasiment tous les domaines, Kigali peut prétendre à l’excellence. La capitale a réalisé presque 8 % de croissance annuelle depuis 2005, et même 8,8 % en 2011, année où l’ensemble de l’Afrique subsaharienne a vu son PIB croître de 5 %. Elle s’est hissée à la 45e place en 2012, au lieu de la 150e en 2008, dans le classement « Doing Business » qui évalue 183 pays selon la facilité avec laquelle on peut y faire des affaires.
Incertitudes politiques, ralentissement économique… et crispation religieuse. Les lendemains de la révolution sont hasardeux. Voire périlleux. Enquête sur un pays sous haute tension.
Le Vieux Continent n’aime rien tant que donner des leçons de morale au monde entier. Dans vingt-cinq des pays qui le composent, l’ONG Transparency International est allée y regarder d’un peu plus près. Verdict ? Peut mieux faire.
Brillant énarque, le nouveau ministre de l’Économie a la lourde tâche d’extirper la France de la crise de la dette. De sa réussite dépend en partie la bonne santé des économies africaines.