Après la réforme de l’assurance maladie, celle du système financier. Pour le président, la loi promulguée le 21 juillet constitue un succès majeur… qu’une majorité d’Américains n’apprécient sans doute pas à sa juste valeur.
Après le socialisme et le libéralisme, le pays s’engage sur la voie du nationalisme. Mais l’économie souffre surtout de la défiance entre l’État et le secteur privé. Décryptage d’une politique économique en plein bouleversement.
Malgré les centaines de milliards de dollars injectés dans l’économie grâce à la rente des hydrocarbures, le moral des Algériens est maussade. Emplois, croissance, investissements… Les chiffres sont bons mais la grogne sociale perdure. Le « patriotisme économique » décrété il y a un an peut-il redonner confiance à la population ?
Le gouvernement algérien a des raisons d’être en colère contre Orascom Telecom Algérie (OTA, filiale de l’égyptien OTH), premier opérateur du pays, avec 13 millions d’abonnés, mais l’étranglement méthodique qu’il lui fait subir est du plus mauvais effet auprès des investisseurs.
Financement politique occulte, soupçons de fraude fiscale massive, conflits d’intérêts… Les révélations de l’affaire Woerth-Bettencourt deviennent explosives. Et impliquent désormais Nicolas Sarkozy.
Indispensables pour accéder au marché du crédit, leurs appréciations peuvent influer gravement sur l’avenir d’un pays ou d’une entreprise. Pourtant, depuis quarante ans, elles ne cessent de se tromper. Sans aucune conséquence sur leurs bénéfices. Bien au contraire.
Angela Merkel n’a accepté qu’à contrecœur – et pour de très égoïstes raisons – de porter secours à la cigale grecque, que son imprévoyance et son incurie ont plongée dans une crise financière gravissime.
Nul ne sait si Dominique Strauss-Kahn renoncera avant terme à la direction générale du FMI pour briguer l’investiture socialiste à l’élection présidentielle de 2012. Tout dépendra sans doute de la cote de popularité de Martine Aubry, la première secrétaire du PS, l’an prochain.
Croissance en berne, dégradation continuelle de la situation de l’emploi, casse sociale… La réélection de Nicolas Sarkozy dans deux ans est tout sauf assurée.
Favori des sondages, le leader du parti conservateur a de sérieuses chances de succéder à Gordon Brown, le 6 mai. Aussi fringant que son adversaire travailliste est austère, il ressemble à un Tony Blair… de droite !
Plombé par la crise économique, le président du gouvernement socialiste n’a plus la baraka : tout ce qu’il entreprend tourne au fiasco. Du coup, il n’est même pas assuré de pouvoir achever son mandat.
Dix ans après son accession au pouvoir, le chef de l’État demeure un personnage déroutant. Sous forme d’abécédaire, J.A. vous invite à découvrir ses différentes facettes.
Il y a deux ans, sa déroute électorale face aux conservateurs du sémillant David Cameron paraissait inéluctable. À un peu plus d’un mois de l’échéance, rien n’est moins sûr.
Ancien Premier ministre français, représentant personnel du président Nicolas Sarkozy auprès du Conseil permanent de la Francophonie depuis octobre 2009.
Les élections régionales des 14 et 21 mars se présentent sous de très, très mauvais auspices pour le parti majoritaire, dont le principal handicap, désormais, semble bien être… Nicolas Sarkozy lui-même.
Les retombées de la crise économique semblaient s’estomper et la relance arriver doucement, mais une seconde secousse touche certaines économies des pays du Nord. L’Afrique redoute cette réplique qui inévitablement arrivera jusqu’à elle.
Affaiblie par la crise, la quatrième économie de la zone euro est la cible sur les marchés financiers d’une attaque en règle. Elle devrait s’en sortir sans trop de dommages, mais d’autres pays sont désormais dans le collimateur.
En dépit de la farouche hostilité des républicains, Barack Obama est à deux doigts de révolutionner le système de santé. Ce qu’aucun président avant lui n’avait réussi à faire.