Venus de tous les horizons académiques et politiques, les 25 auteurs du rapport « La course à la nouvelle frontière des revenus » ont passé au crible le « Plan Sénégal émergent », pour vérifier si le pays est capable d’atteindre l’émergence en 2035.
La politique de rigueur imposée par la Banque des États de l’Afrique centrale a permis aux pays de la sous-région, notamment ceux qui sont sortis du tout-pétrole, de renouer avec la croissance. Mais pour combien de temps ?
Si son ancien parti, le RFD, a obtenu des résultats décevants aux élections du 1er et du 15 septembre, Ahmed Ould Hamza, ex-président de la Communauté urbaine de Nouakchott, ne croit pas que la victoire du parti de Mohamed Ould Abdelaziz ouvre la voie à un troisième mandat présidentiel.
Le président Mohamed Ould Abdelaziz a remporté les élections législatives, régionales et municipales du 1er et du 15 septembre. Va-t-il en profiter pour modifier la Constitution afin de pouvoir se présenter une troisième fois en 2019 ?
Face à la montée rapide de la dette publique des États africains, le FMI a fixé des priorités pour maintenir la confiance entre prêteurs et emprunteurs.
Mohamed Ould Maouloud (UFP) se félicite que l’union de l’opposition ait mis en ballottage le parti présidentiel dans toutes les grandes villes, à l’occasion du premier tour des élections nationales, régionales et locales mauritaniennes du 1er septembre.
L’anthropologue Mohamed Fall Ould Bah, secrétaire général du Centre d’études et de recherches de l’ouest saharien (Ceros) de Nouakchott, analyse les positions respectives des partis présidentiel et islamiste aux trois élections mauritaniennes.
Bathia Mamadou Diallo, ministre de la Défense et président de la commission de redynamisation de l’Union pour la République (UPR), se dit satisfait du premier tour des élections du 1er septembre en Mauritanie.
Mohamed Jemil Ould Mansour, ancien président du parti islamiste Tawassoul et candidat au conseil régional de Nouakchott, dénonce des élections organisées sans concertation avec l’opposition. Il se félicite des gains de son parti et des ballottages infligés au parti présidentiel.
Il aura fallu plus de huit jours pour que les résultats – encore approximatifs – du premier tour des élections législatives, régionales et municipales soient publiés à Nouakchott par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Le paysage politique qui s’en dégage n’aura rien à voir avec celui qui prévalait depuis cinq ans.
C’est un véritable guide pour les gouvernements qu’a produit l’Alliance pour une révolution verte en Afrique. Constatant l’insuffisante productivité du secteur, et pointant une libéralisation inadaptée menée dans les années 1980, cette étude recommande le retour des États dans les politiques agricoles.
Le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères a rappelé lundi les priorités de la politique d’aide publique au développement de la France : hausse de l’aide publique au développement, multiplication par quatre des dons, ciblage de 18 pays africains et d’Haïti.
À quatre jours des scrutins législatif, régional et municipal qui devaient se tenir le 1er septembre, la campagne électorale mauritanienne a été marquée par un petit coup de théâtre : l’homme d’affaires Mohamed Ould Bouamatou, en exil entre l’Espagne et la Belgique, s’est engagé résolument en faveur de l’opposition, pour la première fois de sa vie.
À la veille du premier tour des législatives en Mauritanie, samedi 1er septembre, le débat sur l’éventualité d’un troisième mandat du président Mohamed Ould Abdelaziz revient sur le devant de la scène politique. Les opposants montent au créneau, tandis qu’au sein du parti au pouvoir, les stratégies divergent.
Pour Philippe Jahshan, président de Coordination Sud, la politique française d’aide au développement a tendance à négliger le rôle des ONG de solidarité internationale.
Si l’économie congolaise se porte mieux, beaucoup reste encore à faire. Le pays fait notamment toujours partie des mauvais élèves quant au climat des affaires.
Le député Hervé Berville remettra fin août au chef de l’État français un rapport sur la modernisation de la politique française d’aide publique au développement.
Le chef d’état-major adjoint prend la direction de la force conjointe antiterroriste dans la région. Portrait d’un militaire exigeant, au sens politique aiguisé.
Le gouvernement congolais vient d’annoncer, par la voix de son ministres des Finances, Calixte Nganongo, des recettes budgétaires inférieures de 27,5 % aux prévisions. Conséquence, un nouveau coup de rabot sur les dépenses publiques, et un excédent budgétaire divisé par deux.
Sur la base des « perspectives agricoles 2018-2027 » publiées par la FAO et l’OCDE début juillet, les pays du Maghreb devraient cesser d’accorder la priorité aux céréales, ce qui permettrait des améliorations pour les comptes publics, les agriculteurs, la planète et la santé publique.
Pour faciliter l’arrivée d’investisseurs étrangers et financer les projets d’infrastructures, le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed est résolu à mener les réformes économiques indispensables, combinées à une volonté de détente politique.
Deux études produites pour le G20 mettent en lumière le manque de capitaux dans les infrastructures africaines et les déficits de gouvernance qui ralentissent les investissements.
En confirmant qu’il ne briguerait pas un troisième mandat en 2019, Mohamed Ould Abdelaziz rebat les cartes tout en gardant la main. Tandis que la classe politique s’agite à l’approche des élections législatives et locales de septembre.
Bien que la Mauritanie ait fait plus que sa part dans la sécurisation régionale, la France et l’Europe ne semblent avoir d’yeux que pour la « zone des trois frontières », comprenant le Burkina Faso, le Mali et le Niger.
Affirmant avoir obtenu 1,16 million d’adhérents en quelques semaines, le ministre de la Défense et président de la commission de réforme de l’Union pour le République (UPR), Bathia Mamadou Diallo, revient pour Jeune Afrique sur cette campagne d’« enrôlement ».
Le président de l’Union des forces de progrès, Mohamed Ould Maouloud, explique pourquoi l’UFP ne boycottera pas les scrutins de septembre en Mauritanie.
Favorisés par l’État pour développer les infrastructures, les partenariats public-privé sont freinés par la méfiance entre le monde de l’administration et celui de l’entreprise.