Depuis l’attaque jihadiste du 24 août, qui a fait plus de 300 morts, le président de la transition burkinabè s’est muré dans le silence. De nombreuses personnalités se sont pourtant indignées de la lourdeur de ce bilan et ont exprimé leur colère.
L’armée congolaise a annoncé avoir empêché une « tentative de coup d’État » ayant, selon elle, impliqué « des étrangers et des Congolais ». Le chef des assaillants a été tué.
Des tirs ont retenti dans la nuit du 18 au 19 mai près du palais de la Nation, siège de la présidence de Félix Tshisekedi. La résidence de Vital Kamerhe, son allié et chef de l’UNC, a également été attaquée.
L’incarcération de Stanis Bujakera Tshiamala, notre correspondant à Kinshasa, est une atteinte grave à cette liberté de la presse que le président congolais dit vouloir défendre.
Il y a un an jour pour jour, le 16 janvier 2022, Ibrahim Boubacar Keïta décédait à son domicile. L’ancien chef de l’État avait été contraint à la démission un an et demi plus tôt.
Moins de neuf mois après avoir pris le pouvoir par les armes, le président de la transition a été contraint à la démission par un groupe d’officiers putschistes. Récit des 48 heures qui ont (à nouveau) fait basculer le pays.
Après le coup de force d’Ibrahim Traoré et de ses hommes, le président de la transition burkinabè, lui-même arrivé au pouvoir par les armes en janvier dernier, a finalement renoncé à ses fonctions.
Peu lui importent les revers et les coups bas. À six mois de la fin de son mandat, la procureure générale de la Cour pénale internationale (CPI) défend son bilan, convaincue d’avoir fait avancer la justice, et refuse de se laisser intimider.
La « Fin de Mame Baby », le premier roman de la martiniquaise Gaël Octavia est une histoire d’amour et d’amitié à l’épreuve du Quartier. Un premier ouvrage réussi.
Pas un instant il n’a regretté son choix. Le vice-président de l’Union nationale explique que c’est le pragmatisme qui l’a fait se rallier à Jean Ping. Et qui, aujourd’hui encore, le pousse à prôner le dialogue avec un président dont il conteste la légitimité.
Qui succédera à Jacob Zuma pour prendre le rôle de président du parti sud-africain, en décembre prochain ? Un résumé en images de la situation de l’ANC.
Rencontre avec un vieux routier de la politique sénégalaise et de la diplomatie internationale qui, à 69 ans, ambitionne de prendre la tête de la Commission de l’UA en janvier.
Sèchement battu au second tour de la présidentielle, en février dernier, l’ancien Premier ministre se revendique comme premier opposant. Et ne mâche pas ses mots à l’égard du nouveau président.
Mi-janvier, devant l’ampleur de la contestation, le gouvernement a finalement renoncé à son plan d’extension d’Addis Abeba, qui aurait empiété sur les terres des paysans du pourtour de la capitale éthiopienne.
Le 14 février, ils s’affronteront pour le second tour de la présidentielle. Tous deux ont été Premier ministre, mais la comparaison s’arrête là tant leurs trajectoires sont à l’opposé l’une de l’autre.
Début janvier, la Cour constitutionnelle a validé quinze candidatures pour un scrutin au cours duquel s’affronteront plusieurs ténors de la vie politique locale.
Au Mali, l’opposition a eu tôt fait de médiatiser l’affaire : le 18 janvier, le pays a vu son droit de vote aux Nations unies suspendu pour non-paiement de cotisations.
Le chef de l’État n’a jamais été aussi confiant : la CPI a renoncé à le poursuivre, et Barack Obama s’apprête à venir lui rendre visite. Courtisé de toutes parts, Kenyatta a l’embarras du choix.
On croyait Michel Kafando, le président de la transition du Burkina, condamné à jouer les seconds rôles en attendant les élections. C’est pourtant son Premier ministre, le lieutenant-colonel Zida, qui est en difficulté, pas lui, diplomate quasi inconnu il y a encore trois mois.
Parce qu’un sommet de chefs d’État se déroule aussi en coulisses, voici quelques informations glanées dans les couloirs du siège de l’Union africaine et dans les grands hôtels d’Addis-Abeba.
Le 24e sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africain (UA) s’est ouvert ce vendredi matin à Addis-Abeba. Un de ses objectifs annoncé est la concrétisation d’une force multinationale contre Boko Haram.