Convaincu que lui seul peut redresser la barre, le président de la République guinéenne, Alpha Condé, a répondu aux questions de J.A. Avec toujours le même franc-parler, qu’on l’interroge sur la situation au Mali, sur son bilan ou sur les critiques – sévères – que lui adressent ses opposants.
La Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma a été élue présidente de la Commission de l’Union africaine (UA), le dimanche 15 juillet au soir, à Addis-Abeba, lors du 19e sommet de l’institution. Quatre tours ont été nécessaires aux chefs d’Etats réunis en huis clos pour départager le Gabonais, Jean Ping, président sortant, et sa concurrente qui est à la fois la première femme et la première anglophone à occuper ce poste.
En prélude à la réunion des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine (UA), dimanche à Addis-Abeba, le Conseil de paix et de sécurité (CPS) a tenu une réunion à huis-clos, le 14 juillet. Avec trois dossiers particulièrement brûlants à l’ordre du jour : le Mali, les Soudans et la Guinee-Bissau.
Le ministre algérien chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, participe au sommet de l’Union africaine à Addis Abeba. Il répond aux questions de notre envoyée spéciale sur la crise malienne. Interview.
Le 19e sommet de l’Union africaine qui s’est ouvert jeudi 12 juillet à Addis-Abeba s’annonce sous tension, à commencer par la question épineuse de la réélection du président de l’organisation. Le sommet devra également aborder les crises et conflits qui ont cours sur le continent (Mali, est de la RDC et Soudans).
Pour la ministre sud-africaine des Affaires étrangères, Maite Nkoana-Mashabane, il serait juste que la candidate de l’Afrique australe – la Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma – succède à Jean Ping à la tête de la Commission de l’Union africaine (UA), en juillet.
L’ex-femme de Jacob Zuma s’accroche à sa candidature à la tête de la Commission de l’Union africaine. Le bras de fer continue donc avec le président sortant, le Gabonais Jean Ping.
Condamné à cinquante ans de prison pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis en Sierra Leone entre 1996 et 2002, l’ancien président libérien, 64 ans, devrait passer le restant de ses jours derrière les barreaux.
Le 26 avril, ils étaient nombreux, sur le continent, à suivre le verdict du procès de Charles Taylor. Et à se dire qu’ils pourraient bien un jour, comme l’ancien président libérien, être envoyés à la Cour pénale internationale. Ont-ils des raisons de s’inquiéter ? Enquête.
Quatre-vingt ans de prison ont été requis contre l’ancien président libérien Charles Taylor, jugé coupable par le Tribunal spécial pour la Sierra-Leone. Sans attendre que sa peine soit prononcée, d’autres responsables africains qui se savent sur la sellette peuvent craindre le pire.
Les rebelles du Flec ont proposé une trêve et l’ouverture de pourparlers de paix, début avril, mais n’ont reçu aucune réponse des autorités angolaises.
Alors que les rebelles touaregs ont ouvert la porte à la domination du Nord-Mali par les groupes salafistes et terroristes du type Aqmi, Jeune Afrique tente d’analyser les pistes possibles de sortie de crise. Une enquête à découvrir dans son édition n° 2676, en kiosques du 22 au 28 avril 2012.
La brouille était quasiment officielle entre Alpha Condé et Abdoulaye Wade. Une situation qui ne peut que renforcer les liens entre le président guinéen et le successeur de « Gorgui », Macky Sall.
Avec la loi sur l' »indigénisation » des entreprises au Zimbabwe, Robert Mugabe peut de nouveau se poser en pourfendeur de l’impérialisme blanc. Comme au temps de la réforme agraire.
À l’est du Tchad, les relations avec le voisin soudanais se sont apaisées. Au nord, les « conséquences incalculables » de la chute de Kadhafi, tant redoutées par Idriss Déby Itno, n’ont pas eu lieu. De quoi se concentrer sur les problèmes intérieurs.
En préambule du sommet de l’Union africaine (UA) , le nouveau siège de l’organisation a été inauguré à Addis-Abeba. Construit en moins de trois ans pour plus de 152 millions d’euros, le bâtiment est un cadeau des autorités chinoises.
Réunis à Addis-Abeba lundi 30 janvier 2012, les chefs d’État et de gouvernement du continent ont étalé leurs désaccords au grand jour. Faute d’avoir pu faire élire la Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, Pretoria a empêché la reconduction du Gabonais Jean Ping à la présidence de la Commission de l’Union africaine. Au risque de fragiliser l’organisation. Analyse.
Végétative depuis la mort de Mouammar Kadhafi, la Communauté des États sahélo-sahariens (Cen-Sad) a peut-être trouvé son sauveur. Le Maroc pourrait redynamiser l’organisation.
Lors du sommet de l’Union africaine à Addis Abeba, du 29 au 30 janvier, le souvenir de feu Mouammar Kadhafi n’a pas donné lieu à un quelconque hommage à sa mémoire, ni à son oeuvre.
Longtemps ministre des Affaires étrangères, deux fois Premier ministre et… trois fois candidat à la présidentielle au Sénégal. Le 26 février, Moustapha Niasse portera les couleurs de la coalition de l’opposition Benno Siggil Senegaal.
Des mois de suspense, de rumeurs et de démentis… Et finalement, le dénouement le 30 janvier. Réunis à Addis-Abeba pour le 18e sommet de l’UA, les chefs d’État du continent doivent y élire le futur président de la Commission. Ce sera le Gabonais Jean Ping (sortant) ou la candidate sud-africaine Nkosazana Dlamini-Zuma.
Le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’Union africaine (UA) s’est ouvert ce jeudi 26 janvier à Addis-Abeba en Éthiopie. Au centre du discours d’ouverture de Jean Ping, un bilan de l’année 2011 marquée par les crises ivoirienne et le Printemps arabe. La question de la succession à la présidence de la Commision de l’UA sera quant à elle l’objet des débats du 18e sommet des chefs d’État de l’UA, les 29 et 30 janvier.
Officiellement, seul le Bénin est candidat à la présidence tournante de l’Union africaine (UA), la Gambie et la Guinée s’étant désistées. Mais le Nigeria se serait dit intéressé… Bluff ou réponse à la volonté hégémonique de l’Afrique du Sud, qui lorgne la Commission ? Le sommet des chefs d’État africains, qui se tient à Addis Abeba du 29 au 30 janvier, permettra de trancher.
Peu importe si la coalition de l’opposition Benno Siggil Senegaal ne l’a pas choisi pour candidat. Le patron du Parti socialiste sénégalais, Ousmane Tanor Dieng, espère bien être celui qui boutera Abdoulaye Wade hors de la présidence, le 26 février. Interview.