Une Congolaise retourne à Kinshasa après trois ans d’absence. Insécurité, difficultés du quotidien, retrouvailles avec ses proches… Elle raconte son séjour à une amie restée à Paris. Si ses déceptions font naître un brin de révolte, elle reste fascinée par la persévérance des jeunes Kinois. Voici le troisième volet de son récit épistolaire.
Une Congolaise retourne à Kinshasa après trois ans d’absence. Insécurité, difficultés du quotidien, retrouvailles avec ses proches… Elle raconte son séjour à une amie restée à Paris. Si ses déceptions font naître un brin de révolte, elle reste fascinée par la persévérance des jeunes Kinois. Voici le second volet de son récit épistolaire.
Une Congolaise retourne à Kinshasa après trois ans d’absence. Insécurité, difficultés du quotidien, retrouvailles avec ses proches… Elle raconte son séjour à une amie restée à Paris. Si ses déceptions font naître un brin de révolte, elle reste fascinée par la persévérance des jeunes Kinois. Récit épistolaire en trois volets.
Une fois de plus, ces 8 et 9 août, la principale plateforme de l’opposition congolaise avait appelé à la journée ville morte dans tout le pays. Objectif : réclamer la publication du calendrier électoral qui se fait attendre. Un appel plutôt bien suivi mardi, nettement moins ce mercredi.
Depuis la mort d’Étienne Tshisekedi, son parti, l’Union pour la démocratie et le progrès social ( UDPS) est plus que jamais divisé, certains membres en ont été évincés, pendant que d’autres s’affairent à organiser le prochain congrès du parti. Dans tout cela, que deviennent les plus proches collaborateurs du Sphinx de Limete ?
La Monusco a annoncé ce mercredi 26 juillet la reddition de Ntabo Ntaberi alias Sheka, commandant d’un des groupes armés qui pullulent dans l’est de la RD Congo. Ce chef de guerre est sous le coup d’un mandat d’arrêt pour « crime contre l’humanité » et de sanctions du Conseil de sécurité depuis 2011.
Pourquoi la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) organise t-elle des élections de gouverneurs dans 11 provinces de la RDC, alors que les Congolais attendent d’elle qu’elle se penche avant tout sur la présidentielle ? En raison d’un « vide juridique » dans certaines provinces, répond le gouvernement.
L’opposant Joseph Olenghankoy a été désigné samedi pour prendre la tête du Conseil national de suivi de l’accord (CNSA) de la Saint-Sylvestre, censé mettre un terme à la crise politique en République démocratique du Congo. Une nomination qui a fait bondir les membres du Rassemblement, la plateforme de l’opposition.
L’ouverture vendredi 21 juillet du conclave du Rassemblement de l’opposition en RD Congo s’est déroulée dans une ambiance très particulière : les portes de la salle réservée par l’opposition sont restées fermées jusqu’à la fin de la journée.
Joseph Kabila a opéré de grands changements au sein de l’armée et de la police ces derniers jours. À la tête de la police kinoise, Sylvano Kasongo Kitenge remplace Célestin Kanyama. Que sait-on de lui ?
Après l’annonce faite par Corneille Nangaa, président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) de la probabilité d’un report des élections en RDC, l’opposition congolaise ne décolère pas. L’opposant Martin Fayulu, cadre du Rassemblement, revient pour Jeune Afrique sur ce que dit l’accord du 31 décembre.
Le procès sur l’assassinat des experts de l’ONU dans le Kasaï se poursuit à pas de tortue. Me Serge Niseka, avocat des suspects dénonce la procédure et demande plus de preuves.
Le poste de président du Conseil national de suivi de l’accord du 31 décembre 2016 (CNSA) devait revenir à Étienne Tshisekedi, l’opposant historique congolais, décédé début février. Qui occupera finalement cette fonction ? Au moins trois poids lourd se bousculent au portillon.
Les discussions entre le gouvernement congolais, la famille biologique d’Étienne Tshisekedi et l’UDPS sur l’organisation des obsèques de l’opposant congolais sont de nouveau à l’arrêt. Mais pour l’instant, seul le parti de l’opposant historique a claqué la porte. Explications.
Tandis que le chef de l’État joue les prolongations, l’opposant Samy Badibanga, lui, n’aura effectué qu’un séjour éphémère à la primature, dans un contexte de crise politique aiguë. Au risque d’y laisser des plumes ?
Alors que le 30 juin est habituellement marqué par la retransmission à la télévision d’un discours du président Kabila et par un défilé militaire pour célébrer l’anniversaire de l’indépendance de la RDC, aucun de ces deux événements n’aura lieu cette année.
Un mois et demi après son évasion de la prison de Makala, Ne Muanda Nsemi, chef de la secte politico-mystique Bundu dia Kongo, a fait réapparition dans une vidéo de près de 29 minutes, largement relayée sur les réseaux sociaux. Que retenir de son message ?
Les quatre artistes plasticiens arrêtés vendredi dernier par les forces de l’ordre, à Goma, peuvent à nouveau respirer l’air frais de la capitale du Nord-Kivu. Ils avaient été appréhendés alors qu’ils manifestaient contre les violences à Beni et dans le Kasaï.
Un compromis a finalement été trouvé ce vendredi, lors de la 35e session du Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies, à Genève. La résolution adoptée prévoit d’envoyer une équipe d’experts internationaux et régionaux en RDC, mais pas sous couvert d’une enquête internationale indépendante.
L’ONU ne devrait finalement pas lancer d’enquête internationale sur les tueries dans le Kasaï. Le projet de résolution qui doit être débattu vendredi à la 35e session du Conseil des droits de l’Homme, à Genève, n’en fait en tout cas pas mention.
Alors qu’une bataille d’arguments se poursuit à la 35e session du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU à Genève, un document de l’Eglise catholique de la RDC rendu public mardi évalue à près de 3 400 le nombre de personnes tuées depuis le début de la crise dans le Kasaï. Le même jour, Kinshasa présentait sa version des faits sur le phénomène Kamuina Nsapu dans un « Livre blanc », sans chiffrer le nombre des victimes.
Au cours d’un point de presse tenu lundi à Genève, le ministre d’État congolais en charge de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, s’est exprimé au sujet du retour au pays de l’opposant Moïse Katumbi mais aussi du dossier de la guerre au Kasaï, entre autres.
Dans la nuit du 10 au 11 juin, une vingtaine de personnes cagoulées ont attaqué le commissariat et le parquet de la commune de Matete, au sud de Kinshasa. Si les autorités congolaises n’ont pas encore mis la main sur les assaillants, des témoignages indiquent la piste Kamuina Nsapu.
Une plainte pour crime contre l’humanité a été introduite en Belgique contre le ministre d’État congolais en charge de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba. Bruxelles a décidé d’ouvrir une enquête.
Le 11 juin, à Béni, 930 détenus s’évadaient de la prison de Kangbayi, après une attaque à l’arme lourde. Pour Omar Kavota, président du Centre d’études pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’Homme (CEPADHO), la rébellion ougandaise des ADF serait derrière ces événements.
Les motions de défiance déposées mardi à l’Assemblée nationale de la RD Congo contre Emmanuel Ramazani Shadary, vice-Premier ministre chargé de l’Intérieur et de la Sécurité et de son collègue de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, ne seront pas examinées avant… trois mois.
Une cinquantaine de députés mettent en cause la responsabilité du ministre d’État en charge de la Justice, Alexis Thambwe-Mwamba, dans une série d’évasions de prisons en RD Congo. Conduite par le député Muhindo Nzangi, un élu de Goma, dans le Nord-Kivu, une motion de défiance a été déposée mardi au bureau de l’Assemblée nationale.
Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Zeid Ra’ad Al Hussein, a appelé ce vendredi 9 juin, au lancement d’une enquête internationale sur les violations des droits de l’Homme commises ces derniers mois dans le Kasaï.
Dans la matinée du 5 juin 2000 éclatait à Kisangani, dans le nord-est de la RD Congo, un conflit à l’arme lourde entre les Forces rwandaises et ougandaises, qui soutenaient chacune un groupe rebelle congolais. Dix-sept ans plus tard, de jeunes Congolais ont lancé des hashtags sur les réseaux sociaux pour dénoncer ce crime de guerre.
Sur la twittosphère, les leaders africains sont encore loin des champions du genre, à savoir Donald Trump, le pape François ou encore le président indien Nerandra Modi. Pourtant beaucoup ont une vie sur les réseaux sociaux, avec des succès variables et des approches différentes. Tour d’horizon.