Propos polémiques d’Emmanuel Macron côté français, fermeture de l’espace aérien côte algérien… Les passes d’armes entre les deux pays semblent avant tout motivées par des stratégies de politique intérieure, à Alger comme à Paris.
Huit mois après les premières manifestations populaires, le pouvoir militaire algérien donne l’impression de tenir bon et entend imposer son élection présidentielle dans un contexte répressif.
Après les échecs d’avril et de juillet, le pouvoir algérien tente d’imposer une nouvelle élection présidentielle le 12 décembre prochain. Les Algériens, mobilisés depuis plus de sept mois, la rejettent.
De nombreux Algériens manifestent contre l’idée d’un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika. On les croyait aussi muets que lui, ils démontrent le contraire.