Les dirigeants du continent se retrouvent ce lundi à Addis-Abeba pour un sommet de transition. Alpha Condé, Alassane Ouattara ou encore Joseph Kabila sont là mais plusieurs poids lourds du continent sont absents.
Le Maroc a rejeté samedi le rapport de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, ce dernier contenant deux clauses sur l’instauration d’une mission de surveillance des droits de l’homme dans le Sahara.
Denis Sassou-Nguesso, président du comité de haut niveau de l’Union africaine sur la Libye, doit réunir les principaux protagonistes de la crise dimanche, en marge du 29ème sommet de l’Union africaine (UA). Jean-Claude Gakosso, le ministre des Affaires étrangères du Congo-Brazzaville, revient sur l’avancée des négociations.
Entre optimisme et fermeté, le président de la Commission de l’UA élu en janvier dernier a tenu vendredi son premier discours devant le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’organisation.
Les ministres des Affaires étrangères africains se retrouvent à Addis-Abeba ce vendredi pour préparer la réunion des chefs d’État qui doit avoir lieu en début de semaine prochaine.
L’ancien chef de l’État reste un acteur majeur de la scène ivoirienne. Mutineries, grogne sociale, présidentielle de 2020, affaires judiciaires… Sur toutes ces questions, le Sphinx de Daoukro a un avis tranché. Entretien exclusif.
Succession d’Alassane Ouattara, relations avec Guillaume Soro… Le porte-parole du parti présidentiel prend position. Il réagit aux déclarations exclusives d’Henri Konan Bédié à Jeune Afrique.
Alors que la grogne sociale est forte depuis le début de l’année en Côte d’Ivoire, le président d’une des franges du Front populaire ivoirien (FPI) a appelé « tous les mécontents » à défiler ce samedi dans les rues d’Abidjan. Un rendez-vous qui ressemble à un test pour Pascal Affi N’Guessan, contesté par une partie des pro-Gbagbo.
Après la découverte d’une cache d’armes chez l’un de ses proches, Guillaume Soro se retrouve une nouvelle fois dans la tourmente. Face aux soupçons, l’entourage du président de l’Assemblée nationale dénonce une manipulation orchestrée par ses rivaux.
George Weah a été l’un des plus grands footballeurs africains, mais il dispute désormais un autre match. À nouveau candidat à la présidentielle en octobre prochain, l’ancien attaquant part favori.
En donnant satisfaction aux mutins, le président Alassane Dramane Ouattara a ouvert la boîte de Pandore. Il doit maintenant gérer les revendications des « démobilisés » de l’armée, pendant que, dans les coulisses, la guerre des clans se réveille au sommet de l’État.
Cagoule sur la tête, arme à la main, prêts à défier le pouvoir en place, ils ont conservé les réflexes des rebelles qu’ils ont été. Depuis 2014, ils se sont mutinés à trois reprises, fragilisant chaque fois un peu plus le pays.
Dans la nuit du 15 au 16 mai, Alassane Ouattara, confronté à la quatrième contestation militaire en trois ans, a dû céder aux revendications des mutins. Retour sur une crise qui soulève de nombreuses interrogations.
Son patronyme est intimement lié au PDCI. Mais Georges Armand Ouégnin a choisi les rangs de l’opposition et prend la tête de sa nouvelle coalition, Ensemble pour la démocratie et la souveraineté.
Cela fait déjà 12 ans que l’ancienne gloire du football George Weah fait de la politique dans son pays, le Liberia. Alors qu’il s’apprête à participer à sa troisième présidentielle, « Mister George » nous a rendu visite. Interview.
Au lendemain d’une cérémonie annonçant la fin des mutineries, des militaires mécontents ont tiré en l’air à Bouaké mais aussi à Abidjan, la capitale économique, et plusieurs autres villes du pays ce vendredi 12 mai. Une réunion du Conseil national de sécurité avait lieu ce midi.
Dans une déclaration retransmise jeudi soir à la télévision nationale, un militaire présenté comme le porte-parole des 8 400 soldats qui s’étaient mutinés dans les casernes ivoiriennes début janvier a présenté en leurs noms des « excuses », avant d’affirmer qu’ils renonçaient « définitivement à toute revendication d’ordre financier ». Quelques heures plus tard, des tirs de sommation effectués par des militaires mécontents ont été entendus à Bouaké.
Mi-janvier, Daniel Kablan Duncan quittait la primature pour la vice-présidence, un poste aux contours flous. A-t-il accepté, en fidèle compagnon du chef de l’État ivoirien, Alassane Ouattara, une retraite dorée aux pouvoirs limités ? Ou compte-t-il, en fin stratège, peser au sommet de l’État, voire en prendre un jour la tête ?