Ces dernières semaines, le Maroc, l’Algérie et la Tunisie n’ont pas été épargnés par les flammes. Pourtant, chacun des trois pays a essayé de prévenir les incendies en amont et de mieux s’armer pour les combattre. Avec de nombreuses similitudes.
États-Unis, Chine, France et Israël continuent d’alimenter l’arsenal militaire marocain. Mais de nouveaux concurrents entrent dans la danse, comme l’Inde et le Brésil, qui proposent des équipements moins onéreux.
En février dernier, le monde entier a de nouveau été saisi d’une brève « ovnimania » lorsque plusieurs objets volants non identifiés ont été signalés en Amérique du Nord. Le phénomène n’a pas épargné le royaume, où Hassan II s’était d’ailleurs, en son temps, très officiellement penché sur la question.
La main tendue au Maroc du ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir Abdollahian, n’est pas passée inaperçue. Suffira-t-elle à convaincre le royaume de renouer une relation marquée par une longue suite de ruptures depuis les années 1980 ?
Au nombre de 35 000, les Marocains constituent une importante communauté à Orlando, Miami et dans les environs. Le choix de Rabat d’établir un consulat général dans le « Sunshine State » ne doit donc rien au hasard.
Portée par le phénomène ChatGPT, l’IA est désormais un concept connu de tous. Au Maghreb, de nombreuses initiatives ont été lancées pour ne pas rester à l’écart de cette nouvelle révolution technologique. Mais beaucoup reste à faire.
Interdire aux binationaux d’accéder à des postes ministériels au Maroc : la proposition polémique du Parti de la justice et du développement vise avant tout les Franco-Marocains, dans un contexte de tensions entre Rabat et Paris.
Tenante d’une relecture féministe et moderniste du Coran, l’essayiste et médecin marocaine Asma Lamrabet estime que le moment est venu de faire évoluer certaines règles sociétales encore en vigueur au royaume.
L’éventuel transfert au Maroc de la gestion de l’espace aérien du Sahara occidental exacerbe les passions de part et d’autre du détroit de Gibraltar. Mais sur le fond, il s’agit plus de sécurité du trafic que de géopolitique.
Élu président en 1969 après la démission de De Gaulle, Georges Pompidou parvient à rétablir les liens d’amitié avec le Maroc, durement entamés par l’affaire Ben Barka. Mais une nouvelle crise couvait.
Après sa collègue de l’Énergie, c’est Nasser Bourita, ministre marocain des Affaires étrangères, qui a réaffirmé, le mois dernier, la volonté du royaume de devenir un pays de référence en matière de nucléaire civil à l’échelle du continent.
Depuis son rapprochement avec les États-Unis et la normalisation de ses relations avec Israël, le royaume a rejoint la liste des cibles potentielles des hackers iraniens. Et vient de participer, avec les autres pays signataires des Accords d’Abraham, à une réunion de mise à niveau concertée de leur moyens de cyberdéfense.
Confronté à des problèmes de sécheresse et de pénurie d’eau plus aigus que jamais, le Maroc compte sur le savoir-faire israélien en matière de gestion de l’eau pour en atténuer les effets. Une coopération rendue possible par la normalisation des relations entre les deux États.
Les résolutions votées les 18 et 19 janvier par le Parlement européen ont fait réagir du côté de Rabat. Mais pour ce qui est de la coopération avec l’UE, c’est avec la Commission, qui dispose du pouvoir exécutif, que le royaume est amené à traiter.
Pour le père de Mohammed VI, l’intégration totale des Marocains en France était « une chimère ». Un point de vue très tranché, mais à remettre dans le contexte de l’époque. Explications.
Au Maroc comme ailleurs, l’espace numérique est devenu le terrain d’expression de toutes les violences, notamment à l’égard des femmes. Si la loi de 2018 a permis certaines avancées, on est encore loin du compte. Comme est venue le rappeler une nouvelle campagne de communication.
Montessori, Freinet, Steiner-Waldorf, ou encore Reggio… Depuis 2011, les structures d’enseignement alternatif occupent une place grandissante dans le secteur scolaire privé marocain. Mais elles restent inaccessibles au plus grand nombre.
Partenaire de premier plan de l’AIEA sur le continent, le royaume sera-t-il bientôt en mesure de produire de l’électricité grâce au nucléaire ? Éléments de réponse.
Voilà près de six mois que les chefs de la diplomatie des deux pays, Annalena Baerbock et Nasser Bourita, ont mis un terme à une brouille remontant au 1er mars 2021. Un rapprochement qui va se confirmant.
Pour la troisième fois en près d’un siècle, les corps qui représentent la communauté juive du royaume se voient réagencés. C’est l’obsolescence de la législation en vigueur aussi bien que la nouvelle réalité diplomatique qui ont présidé à cette décision.
Après deux ans de silence forcé en raison de la pandémie, le public marocain a pu retrouver les rythmes traditionnels du désormais célèbre Festival Gnaoua et musiques du monde. Renommé pour l’occasion Gnaoua Festival Tour, le circuit musical est passé par Essaouira, Marrakech, Casablanca et Rabat.
Tramways, gares, autoroutes, parc éolien, la multinationale a su se faire une place dans la concurrence au développement des infrastructures du pays. Une longévité exceptionnelle qui remonte aux années 1930.
L’Algérie, le Maroc et la Tunisie sont en lice pour héberger le siège de ce nouvel organe de l’UA. Tous trois disposent des installations nécessaires et ont une réelle légitimité en matière pharmaceutique.
L’homme fort des Émirats arabes unis et prince héritier d’Abou Dhabi, Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, a passé une partie de son adolescence au Maroc. Condisciple du futur roi Mohammed VI, il a aussi été… serveur dans un restaurant de Rabat.
C’est officiel, le groupe sera de retour sur scène le 30 juin, jour de la fête de l’indépendance, au stade des Martyrs de Kinshasa. Pas moins de 80 000 personnes sont attendues pour acclamer les musiciens. Un évènement qui arrive après vint-cinq ans d’un combat sans merci entre les deux leaders.
Grâce à l’événement MedInIsrael, Tel-Aviv entend approfondir ses relations dans ce secteur avec les pays francophones, explique à Jeune Afrique Michal Gur-Aryeh, du ministère israélien des Affaires étrangères.
Trois cabinets internationaux du « Big Four » de l’audit et du conseil ont vu leurs activités suspendues fin février par le gouvernement d’Abdelmadjid Tebboune.
Après une année 2021 déficitaire, la filiale du géant italien des hydrocarbures Eni doit composer avec une sanction financière imposée par la justice algérienne.