Le Burkina Faso, le Mali et le Niger connaissent une crise profonde qui ne trouve aucune solution dans les actions antiterroristes mises en place. Il est temps que d’autres acteurs africains prennent leurs responsabilités.
Le début, ce lundi 8 février dans la capitale sénégalaise, des plaidoiries dans le procès de l’ancien président tchadien Hissène Habré, jugé pour crimes contre l’humanité, torture et crimes de guerre commis lorsqu’il était au pouvoir entre 1982 et 1990, marque une étape cruciale vers une justice tant attendue par les dizaines de milliers de victimes de violations des droits humains et de crimes de droit international.