Le Rassemblement national a changé de garde-robe et de style mais pas d’idéologie, estime l’ancienne Première ministre du Sénégal, qui appelle les Français d’ascendance africaine et les binationaux africains-français à lui faire barrage dans les urnes.
Au regard du passé, des discours et de la ligne politique de son parti, la présidente du Rassemblement national, principale formation de l’extrême droite française, n’est pas la bienvenue au pays de la Teranga.
À l’occasion du 8 mars, l’ancien Premier ministre du Sénégal invite les dirigeants africains à oser délier les cordons de la bourse pour que les femmes deviennent de véritables actrices de l’émergence économique et sociale du continent.
Dans la course aux vaccins contre le coronavirus, le « chacun pour soi et moi d’abord » semble primer. Il est temps de revenir à la raison et à la solidarité internationale.
Après quatre années de présidence Trump, qui n’a jamais fait mystère de son manque total d’intérêt pour le continent, les Africains attendent, avec l’élection du démocrate Joe Biden, un renouveau des relations entre les États-Unis et l’Afrique.
Il est certainement bien trop tôt pour tirer des leçons de la pandémie du Covid19 alors qu’elle charrie toujours son lot de désolation et demeure à bien des égards une énigme aux yeux des scientifiques du monde entier. Néanmoins, à partir de certains constats nous pouvons déjà tirer quelques enseignements préliminaires pour notre continent.
L’affaire Petro-Tim, récemment relancée par un reportage de la BBC, ne cesse d’alimenter la polémique au Sénégal quant aux bénéfices que le pays retirera de l’exploitation prochaine du pétrole et du gaz. Pour l’ancienne ancienne Première ministre Aminata Touré, désormais présidente du Conseil économique, social et environnemental, les réformes entreprises en matière de gouvernance publique et de transparence dans les industries extractives offrent les garde-fous nécessaires et méritent d’être saluées.