L’Union du peuple gabonais (UPG) de l’opposant historique Pierre Mamboundou, décédé le 15 octobre, ne participera pas aux élections législatives du 17 décembre, a confirmé samedi lors d’un meeting son porte-parole.
Les Tunisiens ont commencé à voter dimanche dans l’émotion, pour le premier scrutin libre de l’histoire du pays afin d’élire une assemblée constituante et tourner définitivement la page de Ben Ali chassé en janvier par une révolution populaire après 23 ans d’un règne sans partage.
Des centaines de Libyens se pressaient samedi pour voir le cadavre du dirigeant déchu Mouammar Kadhafi exposé à Misrata, à la veille de la proclamation officielle de la libération de la Libye après huit mois d’un conflit dévastateur.
Jean-François Copé, chef du parti du président français Nicolas Sarkozy, a salué samedi à Abidjan un « vent d’optimisme » en Côte d’Ivoire six mois après une sanglante crise post-électorale, à l’issue d’un entretien avec le chef d’Etat ivoirien Alassane Ouattara.
Le numéro deux du Conseil national de transition (CNT), Mahmoud Jibril, a qualifié samedi en Jordanie de quasi mission impossible la reconstruction de la Libye.
L’Égypte et Israël mettaient samedi « la dernière touche » à un accord pour échanger un ressortissant israélo-américain détenu en Égypte contre des Égyptiens emprisonnés en Israël, a rapporté l’agence officielle Mena.
La France prend acte du résultat proclamé par la Cour suprême du Cameroun donnant Paul Biya réélu président pour un sixième mandat, mais note de nombreuses irrégularités, dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
Un Égyptien a été condamné samedi au Caire à trois ans de prison assortis de travaux forcés pour avoir insulté l’islam dans des propos publiés sur Facebook, a rapporté l’agence officielle Mena.
L’ex-chef des renseignements libyens, Abdallah Al-Senoussi, visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), est « signalé » dans l’extrême nord du Niger, frontalier de la Libye, a indiqué samedi à l’AFP une source gouvernementale nigérienne.
« Gens d’Ennahdha, soyez joyeux, avec vigilance ! » Rached Ghannouchi est tout sourire. Pour son dernier grand meeting, le chef du parti islamiste favori du scrutin de dimanche en Tunisie, s’est offert un bain de foule et savoure l’instant.
Ils ont accompli ce que tout rebelle libyen rêvait de faire: capturer Mouammar Kadhafi. Mais le dénouement gêne. Les ordres sont: « Personne ici n’a tué Kadhafi ». Ils préfèrent exhiber les possessions de l’ex-dictateur: bottine noire, pistolet plaqué or, foulard beige.
L’opposition libérienne, qui avait rejeté samedi les résultats du 1er tour de la présidentielle du 11 octobre plaçant en tête la sortante Ellen Johnson Sirleaf, a finalement décidé dimanche de participer à un second tour entre Mme Sirleaf et son rival Winston Tubman.
Le Parti de l’unité (UP) de la présidente sortante, Ellen Johnson Sirleaf, a annoncer vouloir participer au second tour de l’élection présidentielle au Liberia, prévue le 8 novembre. Le camp présidentiel ignore ainsi le rejet des résultats par 9 partis d’opposition.
Dans un contexte d’activisme parfois violent de groupes salafistes, la commission électorale tunisienne organisait dimanche un vote blanc, sept jours avant l’élection d’une assemblée constituante.
Les autorités libériennes ont décidé samedi de fermer leurs frontières terrestres avec la Côte d’Ivoire, la Guinée et la Sierra-Leone, jusqu’à nouvel ordre, suite à la décision de l’opposition de quitter le processus électoral.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) était à Abidjan samedi pour y rencontrer le président Ouattara ainsi que le camp Gbagbo. Il a promis une enquête « impartiale » sur les crimes commis durant la crise post-électorale.
Une violente contre-attaque des combattans fidèles à Mouammar Kadhafi les a contraint à reculer de deux kilomètres. Les forces du nouveau régime libyen se sont repliées jusqu’au quartier général de la police de Syrte.
Les dernières déclarations du procureur de la République faisaient état de 38 arrestations dont 27 militaires, après l’attaque le 19 juillet de la résidence privée du président guinéen Alpha Condé.
Pour éviter la dispersion des armes du régime déchu de Mouammar Kadhafi, l’administration américaine a dépéché 14 experts en Libye. Une cinquantaine d’autres suivront bientôt.
Le parti politique islamiste tunisien Ennahda a condamné samedi toute violence, après l’attaque visant le patron de la chaîne privée Nessma TV. La chaîne parle, quant à elle, d’un « double discours ».
Alors que les résultats de plus de la moitié des bureaux de vote ont été communiqués par la commission électorale, l’opposition libérienne, dont le parti de Winston Tubman, s’est retiré samedi du processus électoral, dénonçant de « nombreuses fraudes ».
Une opération de ratissage a été lancée par les nouvelles autorités libyennes après les combats meurtriers entre pro et anti Kadhafi dont ont été le théatre plusieurs quartiers de Tripoli vendredi. Des fidèles de l’ancien « guide » libyens qui resistent toujours dans la ville de Syrte, où les combats ont repris samedi.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), qui enquête sur les crimes commis durant la crise post-électorale en Côte d’Ivoire, doit rencontrer samedi à Abidjan le président Alassane Ouattara et les partisans du chef d’Etat déchu Laurent Gbagbo.
La capitale libyenne a connu vendredi ses premiers combats depuis un mois. Des partisans armés du dirigeant déchu Mouammar Kadhafi ont affronté des forces du nouveau régime dans deux quartiers de la ville. Trois personnes ont été tués et trente blessés.
Les résultats de 50,3% des bureaux de vote ont été communiqués par la commission électorale. Avec 45,4% des suffrages exprimés, contre 29,5 pour son adversaire Winston Tubman, la présidente sortante Ellen Johnson Sirleaf accroît sont avance et se rapproche de la barre des 50% synonyme de victoire au premier tour de l’élection présidentielle au Liberia.
Alors que le conflit interethnique de la région du Dongo (RDC) a pris fin en 2010, des dizaines de milliers de réfugiés au Congo-Brazzaville ont encore peur de rentrer chez eux.
« Il y a des infiltrés partout! », s’écrie Charly: la paranoïa règne chez les Ivoiriens réfugiés dans des camps au Ghana, qui se recrutent essentiellement parmi les partisans du président déchu Laurent Gbagbo.