« Nous allons te protéger Béchir jusqu’à la dernière goutte de notre sang », scandaient mercredi des milliers de Soudanais, soutenant leur président Omar el-Béchir, objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI).
Le régime soudanais a catégoriquement rejeté le mandat d’arrêt émis mercredi par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président Omar el-Béchir, ses fidèles scandant dans les rues de Khartoum leur intention de le protéger jusqu’à leur « dernière goutte de sang ».
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé avoir délivré un mandat d’arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
Le conflit du Darfour, dans l’ouest du Soudan, a fait selon l’ONU jusqu’à 300. 000 morts et plus de 2,7 millions de déplacés depuis février 2003. Khartoum n’évoque que 10. 000 morts.
Le président soudanais Omar el-Béchir, premier chef d’Etat contre lequel la Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi un mandat d’arrêt, est un militaire de carrière aux influences islamistes, à la tête du plus grand pays d’Afrique depuis deux décennies.
Le Soudan n’a pas coopéré jusque-là et ne coopèrera pas avec la Cour pénale internationale (CPI), a déclaré mercredi sur la chaîne Al-Jazira le ministre de la Justice Abdel Basit Sabdarat, en réaction au mandat d’arrêt délivré contre le président Omar el-Béchir sur le Darfour.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), l’Argentin Luis Moreno-Ocampo, qui a obtenu un mandat d’arrêt contre le président soudanais el-Béchir, est à 56 ans un idéaliste pragmatique ayant dédié sa vie à la traque des pires criminels de la planète.
Le président soudanais Omar el-Béchir, contre lequel la Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et contre l’humanité au Darfour, est le quatrième président poursuivi par la justice internationale pendant l’exercice de ses fonctions.
Le président soudanais Omar el-Béchir, contre lequel la Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et contre l’humanité au Darfour, est le quatrième président poursuivi par la justice internationale pendant l’exercice de ses fonctions.
Médecins sans frontières (MSF) a annoncé à l’AFP avoir reçu l’ordre du gouvernement soudanais d’évacuer son personnel international du Darfour, région déchirée par la guerre civile dans l’ouest du Soudan.
Zorro, charmant hippopotame de 800 kilos, vient de s’installer dans une station d’épuration sud-africaine au grand dam des autorités qui cherchent d’urgence une nouveau logis pour cet encombrant squatter.
Terre privilégiée par Hollywood pour la réalisation de films en Afrique, le Maroc dispose désormais d’une industrie cinématographique vivante et dont il récolte les fruits avec une forte présence au 21ème Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (Fespaco).
Le président soudanais Omar el-Béchir effectuera une visite éclair dimanche au Darfour, région de l’ouest du pays en proie à la guerre civile, a affirmé mercredi un gouverneur local cité par l’agence officielle Suna.
La Cour pénale internationale (CPI) devait annoncer mercredi si elle délivre ou non son premier mandat contre un chef d’Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, accusé par le procureur de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour.
La Cour pénale internationale (CPI) devait annoncer mercredi si elle délivre ou non son premier mandat contre un chef d’Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, accusé par le procureur de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
Le président gabonais Omar Bongo Ondimba a estimé dans une lettre adressée au président par intérim de Guinée-Bissau Raimundo Pereira que l’assassinat du président Joao Bernardo Vieira était « un nouveau coup à la démocratie ».
La tension est palpable au Soudan, notamment au Darfour où la présence des forces de sécurité a été renforcée, quelques heures avant la décision de la Cour pénale internationale de lancer ou non un mandat d’arrêt contre le président Omar el-Béchir.
Le chef de l’Etat par intérim de Guinée-Bissau, Raimundo Pereira, président sortant de l’Assemblée nationale et proche de l’actuel Premier ministre, aura la difficile tâche de mener le pays à de nouvelles élections présidentielles en 60 jours.
Le chef de l’Etat par intérim de Guinée-Bissau, Raimundo Pereira, président sortant de l’Assemblée nationale et proche de l’actuel Premier ministre, aura la difficile tâche de mener le pays à de nouvelles élections présidentielles en 60 jours.
Une épidémie de méningite a fait au moins 98 morts dans le nord du Nigeria depuis fin 2008, et des centaines de personnes ont été infectées, ont indiqué des sources médicales.