Des avions libyens ont débarqué à Nouakchott des militaires et du matériel logistique pour la visite en Mauritanie du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi à l’occasion de la fête du « Moloud », naissance de Mahomet, a-t-on appris de sources sécuritaires.
Les présidents du Gabon et du Congo se trouvent toujours à Rabat au chevet d’Edith Lucie Bongo, l’épouse du chef de l’état gabonais hospitalisée depuis plusieurs semaines dans une clinique de la capitale marocaine, a-t-on appris de sources concordantes.
Hassan Al Haski, un Marocain déjà condamné en Espagne pour appartenance à un groupe tenu pour responsable des attentats de 2004 à Madrid, a été condamné à 10 ans de prison pour son implication dans les attentats de 2003 à Casablanca, a-t-on appris officiellement.
Jeremiah, 10 ans, regarde fixement à travers le carreau. De grosses larmes roulent soudain sur ses joues brûlées. . . par son père. Persuadé d’avoir enfanté un sorcier, ce dernier a tenté de l’immoler.
Le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire après l’attentat du 22 février au Caire dans lequel une jeune touriste française a été tuée et 24 personnes, majoritairement des Français, ont été blessées, a-t-on appris de source judiciaire.
La communauté internationale a unanimement condamné l’assassinat du président de Guinée-Bissau Joao Bernardo Vieira, notamment les responsables africains qui s’alarment de la récente multiplication des coups de force sur le continent.
La militante des droits de l’Homme zimbabwéenne, Jestina Mukoko, a été libérée lundi sous caution après trois mois de détention, a indiqué à l’AFP son avocate Beatrice Mtetwa.
Le Portugal est « disponible pour aider les autorités » de Guinée-Bissau « à maintenir l’ordre et la tranquillité » après la mort du président José Bernardino Vieira, a annoncé lundi le Premier ministre José Socrates.
L’Afrique du Sud envisage d’accorder un prêt au Zimbabwe voisin afin de l’aider à redresser son économie en chute libre, a déclaré le président sud-africain Kgalema Motlanthe.
Le camp de l’opposant malgache Andry Rajoelina a débuté lundi, péniblement, une nouvelle phase de sa mobilisation contre le président Marc Ravalomanana, son appel à la grève générale ayant été peu suivi, tout comme son nouveau rassemblement à Antananarivo.
Le président Joao Bernardo Vieira, tué par des militaires à Bissau, avait été l’auteur du premier coup d’Etat en Guinée-Bissau en 1980 avant d’être renversé par des rebelles en 1999 puis de revenir au pouvoir par les urnes en 2005.
Médecins du Monde a annoncé lundi à Paris l’évacuation de ses équipes du Jebel Marra, dans le nord du Darfour (ouest du Soudan) en mettant en avant une « dégradation des conditions de sécurité ».
Le Portugal a « condamné avec véhémence » les violences, qui ont coûté la vie au président de Guinée-Bissau et au chef d’état-major de l’armée, et annoncé une « réunion d’urgence » de la Communauté des pays de lanque portugaise (CPLP).
Le président de la commission de l’Union africaine (UA), Jean Ping, a « condamné fermement » l’assassinat lundi par des militaires du président bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira, le qualifiant « d’acte criminel », dans une déclaration à l’AFP.
Le président de la commission de l’Union africaine (UA), Jean Ping, a « condamné fermement » l’assassinat par des militaires du président bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira, le qualifiant « d’acte criminel », dans une déclaration à l’AFP.
« La culture de l’assassinat » doit être bannie en Guinée-Bissau, a déclaré le président d’une ONG de défense des droits de l’homme basée à Dakar, après la mort du président bissau-guinéen, tué par des militaires quelques heures après l’assassinat du chef d’état-major de l’armée.
« C’est la démocratie qu’on assassine », a déclaré lundi à l’AFP le secrétaire exécutif de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (Cédéao) Mohamed Ibn Chambas, à l’annonce de la mort du président bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira, tué à l’aube par des militaires.
Le président bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira a été tué tôt ce matin par des militaires, après un attentat à la bombe qui a coûté dimanche soir la vie au chef d’état-major de l’armée, a annoncé à l’AFP le responsable des relations extérieures de l’armée, Zamura Induta.
Le président bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira a été tué tôt lundi par des militaires, en représailles à un attentat à la bombe qui a coûté la vie dimanche soir au chef d’état-major de l’armée, a annoncé à l’AFP le responsable des relations extérieures de l’armée.
Le président bissau-guinéen a été tué par des militaires lundi à Bissau, quelques heures après l’assassinat du chef d’état-major de l’armée, le général Tagmé Na Waié, mort dans un attentat à la bombe, a annoncé un haut responsable militaire.
Le président de Guinée-Bissau Joao Bernardo Vieira a été tué par des militaires lundi à Bissau, quelques heures après l’assassinat du chef d’état-major de l’armée, plongeant dans la confusion ce petit pays pauvre d’Afrique de l’Ouest, déjà fragilisé par le narcotrafic.
Le président de Guinée-Bissau a été tué par des militaires lundi à Bissau, quelques heures après l’assassinat du chef d’état-major de l’armée, plongeant dans la confusion ce petit pays pauvre d’Afrique de l’Ouest, déjà fragilisé par le narcotrafic.
Le président de Guinée-Bissau a été tué par des militaires à Bissau, quelques heures après l’assassinat du chef d’état-major de l’armée, plongeant dans la confusion ce petit pays pauvre d’Afrique de l’Ouest, déjà fragilisé par le narcotrafic.
Le président de Guinée-Bissau a été tué par des militaires lundi à Bissau, quelques heures après l’assassinat du chef d’état-major de l’armée, plongeant dans la confusion ce petit pays pauvre d’Afrique de l’Ouest, déjà fragilisé par le narcotrafic.
Le président de Guinée-Bissau a été tué par des militaires lundi à Bissau, quelques heures après l’assassinat du chef d’état-major de l’armée, plongeant dans la confusion ce petit pays pauvre d’Afrique de l’Ouest, déjà fragilisé par le narcotrafic.
Le président de Guinée-Bissau a été tué par des militaires lundi à Bissau, quelques heures après l’assassinat du chef d’état-major de l’armée, plongeant dans la confusion ce petit pays pauvre d’Afrique de l’Ouest, déjà fragilisé par le narcotrafic.
Des tirs à l’arme automatique et des explosions de roquettes ont été entendus jusque tard dans la nuit dans la capitale bissau-guinéenne après l’annonce de la mort du chef d’état-major des forces armées suite à un attentat dimanche soir, ont rapporté des témoins.
Le Premier ministre bissau-guinéen Carlos Gomes Junior a réuni en urgence le gouvernement après l’attentat qui a coûté la vie au chef d’état-major de l’armée dimanche et créé une cellule de crise pour « suivre la situation », a indiqué à l’AFP une source gouvernementale.
Une bombe de forte puissance a explosé dimanche soir au quartier général des forces armées bissau-guinéennes, à Bissau, faisant six blessés, dont trois graves, a-t-on appris de source militaire.
Une bombe de forte puissance a explosé dimanche soir au quartier général des forces armées bissau-guinéennes, à Bissau, faisant six blessés, dont trois graves, a-t-on appris de source militaire.