Le président somalien a démissionné lundi pour avoir échoué à « ramener la paix » en Somalie, au terme d’une crise politique majeure qui a paralysé les institutions du pays, plongé dans les pires violences depuis le début de la guerre civile en 1991.
Le président somalien a démissionné lundi pour avoir échoué à « ramener la paix » en Somalie, au terme d’une crise politique majeure qui a paralysé les institutions du pays, plongé dans les pires violences depuis le début de la guerre civile en 1991.
Une pétition a été lancée à Brazzaville contre les ONG Transparency International France et Sherpa, qui ont mis en cause devant la justice française le patrimoine de trois présidents africains, dont celui du Congo, a constaté un correspondant de l’AFP.
Deux semaines après leur disparition près de Niamey, on est toujours sans la moindre nouvelle des deux diplomates canadiens Robert Fowler et Louis Guay, alors que le silence sur leur sort est aussi épais que le mystère.
Au moins cinq personnes ont été tuées dans des affrontements dans le centre de la Somalie entre les insurgés islamistes et une milice islamiste modérée qui entend prendre le contrôle de la ville de Dhusamareb aux mains des « shebab », ont rapporté des témoins.
Un groupe islamiste modéré, Ahlu Sunna Wal-jama’ah, présent en Somalie, a appelé pour la première fois à combattre les islamistes extrémistes des « shebab », les accusant d’avoir perpétré des « atrocités » et d’être responsables de l’insécurité dans le pays.
Le Zimbabwe va engager des poursuites judiciaires contre 140 fermiers blancs accusés de ne pas avoir quitté leurs terres après le 30 septembre, comme le prévoyait la réforme agraire, a rapporté dimanche la presse officielle.
Les opérations de vote ont débuté dimanche matin au Ghana pour le second tour de l’élection présidentielle qui oppose le candidat du parti au pouvoir Nana Akufo-Addo, arrivé légèrement en tête au 1er tour, et l’opposant John Atta-Mills, a constaté l’AFP.
Les opérations de vote ont débuté dimanche matin au Ghana pour le second tour de l’élection présidentielle qui oppose le candidat du parti au pouvoir Nana Akufo-Addo, arrivé légèrement en tête au 1er tour, et l’opposant John Atta-Mills, a constaté l’AFP.
Les Ghanéens votaient dimanche pour choisir un président entre Nana Akufo-Addo, du parti au pouvoir, ou John Atta-Mills, de l’opposition, lors d’un second tour serré à l’atmosphère tendue par des accusations mutuelles de fraude.
Les Ghanéens ont voté pour choisir un président entre Nana Akufo-Addo, du parti au pouvoir, et John Atta-Mills, de l’opposition, lors d’un second tour serré à l’atmosphère tendue par des accusations mutuelles de fraude.
Les Ghanéens ont voté dimanche pour choisir un président entre Nana Akufo-Addo, du parti au pouvoir, et John Atta-Mills, de l’opposition, lors d’un second tour serré à l’atmosphère alourdie par des accusations mutuelles de fraude.
Les Ghanéens ont voté dimanche pour choisir un président entre Nana Akufo-Addo, du parti au pouvoir, et John Atta-Mills, de l’opposition, lors d’un second tour serré à l’atmosphère alourdie par des accusations mutuelles de fraude.
L’opposant John Atta-Mills serait en passer de remporter le second tour de la présidentielle qui s’est déroulée dimanche au Ghana, selon des résultats non officiels rapportés lundi par des médias locaux portant sur environ 80% des 230 circonscriptions.
L’opposant John Atta-Mills serait en passer de remporter le second tour de la présidentielle qui s’est déroulée dimanche au Ghana, selon des résultats non officiels rapportés lundi par des médias locaux portant sur environ 80% des 230 circonscriptions.
L’opposant John Atta-Mills serait en passe de remporter le second tour de la présidentielle qui s’est déroulée dimanche au Ghana, selon des résultats non officiels rapportés lundi par des médias locaux portant sur environ 80% des 230 circonscriptions.
L’opposant John Atta-Mills semblait en passe lundi soir de remporter de justesse le second tour de la présidentielle au Ghana, selon des résultats non officiels rapportés par des médias locaux portant sur plus de 80% des 230 circonscriptions.
Le chef de la junte au pouvoir en Guinée, le capitaine Moussa Dadis Camara, a annoncé à Conakry « une renégociation des contrats » dans le secteur minier et l’arrêt de l’extraction dans les zones aurifères « jusqu’à nouvel ordre », tout en promettant de punir la corruption.
Le chef de la junte au pouvoir en Guinée, le capitaine Moussa Dadis Camara, a annoncé samedi à Conakry « une renégociation des contrats » dans le secteur minier et l’arrêt de l’extraction dans les zones aurifères « jusqu’à nouvel ordre », tout en promettant de punir la corruption.
La junte au pouvoir en Guinée, premier exportateur mondial de bauxite, a annoncé samedi à Conakry « une renégociation des contrats » miniers et l’arrêt de l’extraction de l’or « jusqu’à nouvel ordre », au risque de perturber un secteur vital pour l’économie.
La junte au pouvoir en Guinée depuis le coup d’Etat du 23 décembre va « ouvrir dans les prochains jours des négociations » avec les sociétés minières pour « asseoir les bases d’une collaboration avantageuse pour toutes les parties », selon un communiqué lu à la radio.
Au moins 35 civils ont été tués cette semaine par la rébellion ougandaise de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) en République démocratique du Congo et au Sud-Soudan, a accusé samedi l’armée ougandaise dans un nouveau bilan.
L’armée ougandaise a accusé dimanche la rébellion de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) d’avoir massacré notamment à la machette vendredi 45 personnes réfugiées dans une église dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC).
L’armée ougandaise a accusé la rébellion de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) d’avoir massacré notamment à la machette vendredi 45 personnes réfugiées dans une église dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC).
L’armée ougandaise a accusé dimanche la rébellion de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) d’avoir massacré vendredi 45 personnes réfugiées dans une église dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC).
Médecins sans frontières (MSF) a enregistré deux nouveaux décès, portant le bilan à 11 personnes tuées par le virus Ebola qui touche depuis fin novembre le centre de la République démocratique du Congo (RDC), a annoncé un porte-parole de l’ONG.
Les autorités zimbabwéennes ont finalement délivré un passeport au leader de l’opposition Morgan Tsvangirai, après plus de deux mois d’attente et dont l’absence entravait les négociations sur le partage du pouvoir, a indiqué un responsable du parti d’opposition.
Le parti d’opposition zimbabwéen MDC de Morgan Tsvangirai a déclaré à l’AFP qu’un partage « équitable » des ministères clés et la résolution d’autres problèmes politiques en suspens étaient le « meilleur passeport » vers la formation d’un gouvernement d’union.
Les militaires qui ont pris le pouvoir mardi en Guinée, au lendemain de la mort du président Lansana Conté, ont entamé samedi à Conakry une « réunion d’information » pour tenter de justifier leur action, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Le chef de la junte au pouvoir en Guinée, le capitaine Moussa Dadis Camara, a dénoncé samedi d’un ton extrêmement ferme tous ceux qui s’en sont mis « plein les poches » sous le régime du président décédé Lansana Conté, assurant que les « coupables de détournement » seraient « châtiés ».