Au moins 25 civils, dont 11 enfants, ont péri samedi soir dans des raids aériens de l’armée du régime syrien sur deux secteurs rebelles de la province centrale de Homs, a rapporté dimanche l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).
Le Mali tente de juguler toute propagation du virus Ebola après l’annonce d’un premier cas dans le pays, tandis que les États-Unis ont placé une personne en quarantaine d’office pour la première fois.
Le président sortant du Botswana, Ian Khama, a obtenu un nouveau mandat à la suite de la victoire de sa formation, le Parti démocratique du Botswana (BDP), aux élections législatives, a annoncé la Cour suprême dimanche à Gaborone.
Le troisième parti politique du Burkina Faso a annoncé samedi qu’il voterait la semaine prochaine le projet de loi controversé visant à modifier la Constitution pour permettre au président Blaise Compaoré d’être candidat en 2015.
Les bureaux de vote de Tunisie ont ouvert leurs portes dimanche à 6 heures (temps universel) pour les premières législatives depuis la révolution de 2011.
La Tunisie était engagée samedi dans les derniers préparatifs pour ses premières législatives depuis la révolution de 2011, un scrutin crucial pour lequel un vaste dispositif de sécurité sera déployé par crainte d’attaques jihadistes.
Des vaccins contre la fièvre Ebola seront testés, si possible en décembre, dans les trois principaux pays d’Afrique de l’Ouest touchés par l’épidémie selon l’OMS, alors qu’au Mali, la fillette infectée, premier cas dans ce pays, est morte vendredi, selon une source gouvernementale.
Les gouverneurs de New York et du New Jersey ont ordonné vendredi une quarantaine obligatoire pour les personnes ayant eu des contacts avec des malades d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Un premier cas d’infection au virus a été confirmé jeudi dans la plus grande ville des États-Unis.
L’Égypte a décrété vendredi un état d’urgence de trois mois sur une partie de la péninsule du Sinaï, quelques heures après qu’un kamikaze a tué 30 soldats en précipitant sa voiture bourrée d’explosifs sur un barrage de l’armée situé dans la région.
Un tireur, décrit comme un « terroriste » par le Premier ministre canadien, a tué mercredi un soldat à Ottawa et semé la panique au Parlement avant d’être abattu par la police.
L’armée américaine a annoncé dimanche soir avoir largué pour la première fois des armes aux combattants kurdes qui défendent la ville syrienne de Kobané, assiégée par le groupe jihadiste de l’État islamique (EI).
Neuf personnes ont été tuées dimanche dans de nouvelles violences à Benghazi, portant à 75 le bilan des morts depuis le début d’une offensive contre les groupes islamistes qui contrôlent cette ville de l’est de la Libye.
Le Maroc a dénoncé un « acte irresponsable » et sommé l’Algérie de s’expliquer après des coups de feu tirés, samedi, à la frontière entre les deux pays.
Sept soldats égyptiens ont été tués et quatre blessés dimanche par l’explosion d’une bombe au passage de leur véhicule dans la péninsule du Sinaï, ont indiqué des responsables de la sécurité.
Trois mois après l’arrivée au Nigeria du premier malade d’Ebola, l’épidémie, enrayée, a fait un nombre limité de victimes dans le pays le plus peuplé d’Afrique grâce à une réaction initiale rapide et efficace, malgré un système de santé en piteux état.
Les Etats-Unis et les grandes puissances d’Europe occidentale ont réclamé samedi la « fin immédiate » des combats en Libye, où des forces gouvernementales ont lancé des opérations contre des milices islamistes pour tenter de reprendre Tripoli et Benghazi.
Une délégation de la médiation internationale dans la crise centrafricaine était en visite à Bangui, samedi, pour rencontrer autorités et groupes armés afin de « ramener le calme » après les violences qui ont fait une vingtaine de morts depuis quinze jours.
Une manifestation de soutien à Marc Ravalomanana, l’ancien président malgache, placé en résidence surveillée, a été dispersée samedi par la police au prix de quelques heurts et d’au moins un blessé et trois arrestations.
Les proches des lycéennes enlevées au Nigeria osaient à peine exprimer samedi leur joie de les voir bientôt libres, au lendemain de l’annonce d’un accord de cessez-le-feu avec le groupe islamiste armé Boko Haram.
Les participants au synode sur la famille, réunis depuis deux semaines au Vatican, devaient voter samedi un document final, concluant des débats mouvementés sur des sujets de société brûlants, des divorcés aux couples non mariés, y compris homosexuels.
Afonso Dhlakama, le chef du parti d’opposition Renamo au Mozambique, estime que les élections de mercredi n’ont pas été honnêtes, mais a promis samedi de ne pas recourir à la violence.
Le cessez-le-feu entre le Nigeria et Boko Haram prévoit bien la libération de plus de 200 lycéennes enlevées il y a six mois par le groupe islamiste armé, a affirmé samedi le ministère des Affaires étrangères tchadien, dont le pays a joué le rôle de médiateur.
Des hommes armés se sont emparés de deux personnes travaillant pour les Nations unies en l’espace d’une semaine au Soudan du Sud, en proie à un conflit meurtrier depuis dix mois, a affirmé vendredi l’ONU.
Vingt-deux personnes, majoritairement des femmes et des enfants, ont été massacrées vendredi soir lors d’une nouvelle tuerie commise par des rebelles ougandais dans l’est de la République démocratique du Congo, où la population exhorte l’ONU à monter au front contre leur groupe.
L’ONU et la Banque mondiale s’alarment du manque de solidarité internationale envers les pays africains touchés par Ebola, qui a tué 4.555 personnes, et appellent à convertir en actes les promesses internationales d’aide financière et humaine.
L’incertitude demeurait samedi sur la libération de plus de 200 lycéennes dont l’enlèvement mi-avril avait suscité un émoi international, au lendemain de l’annonce par le Nigeria d’un accord de cessez-le-feu avec le groupe islamiste armé Boko Haram.
Catherine Samba-Panza, la présidente de la transition centrafricaine, entame mardi une série de rencontres avec les « forces vives de la Nation ». Objectif : mettre fin au désordre que connaît le pays.
Les juges antiterroristes Marc Trevidic et Nathalie Poux, après avoir dû y renoncer deux fois, doivent se rendre dimanche en Algérie, pour une autopsie des têtes des sept moines de Tibhirine, assassinés en 1996.