En faisant basculer le Haut-Sassandra dans le giron du RHDP lors des dernières régionales, le ministre de la Promotion de la jeunesse a affirmé son statut de figure montante du camp présidentiel.
Affecté par le décès de son président, début août, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire est en net recul par rapport aux locales de 2018. Mais il demeure le premier parti d’opposition en nombre d’élus.
Fabrice Sawegnon conteste la réélection de Jacques Ehouo à la tête de la commune stratégique du centre-ville d’Abidjan. Le candidat du RHDP a formulé un recours devant la Commission électorale indépendante (CEI) le 6 septembre.
À l’issue des élections locales du 2 septembre, le parti de l’ancien président, rentré à Abidjan en 2021, n’a pas réalisé le retour triomphal tant espéré par ses militants.
Ce samedi 2 septembre se tiennent les élections municipales et régionales. Un scrutin déterminant pour les trois principaux partis du pays – RHDP, PDCI et PPA-CI – à deux ans de la prochaine présidentielle, en 2025.
Alors que la campagne se terminait ce 31 août en Côte d’Ivoire, les principaux candidats à la mairie de la commune la plus peuplée d’Abidjan ont tenté, une ultime fois, de convaincre les électeurs.
Après la mort de l’ancien président ivoirien, qui a dirigé le PDCI d’une main de fer pendant près de trente ans, l’heure est à l’union. La bataille pour la succession sera pourtant inévitable.
Seydou Soro a été investi par le Parti des peuples africains-Côte d’Ivoire (PPA-CI). Aux élections locales du 2 septembre, il affrontera dans les urnes Fidèle Sarassoro, directeur de cabinet d’Alassane Ouattara.
Responsables du PDCI, chefs traditionnels baoulés, haut représentants de l’État… Plusieurs acteurs sont impliqués dans l’organisation des obsèques de l’ancien président, pour lesquelles aucune date n’a encore été fixée.
Fils d’une famille historique du parti de feu Henri Konan Bédié, le maire sortant tentera de conserver cette commune abidjanaise lors d’un scrutin qui s’annonce très disputé, le 2 septembre.
Dans cette interview qu’il a accordée à Jeune Afrique, le porte-parole du PPA-CI de Laurent Gbagbo revient sur l’exclusion de son mentor des listes électorales, la transparence des municipales et des régionales du 2 septembre, et les alliances de son parti avec le PDCI.
Le général à la retraite, vice-président du Parti Démocratique de Côte d’ivoire (PDCI) et proche de l’ancien président Henri Konan Bédié, est décédé le mardi 8 août à Abidjan.
Sur fond de rivalités entre le RHDP d’Alassane Ouattara et le PDCI de feu Henri Konan Bédié, les héritiers de la reine des Baoulés, Nanan Akoua Boni II, se disputent pour prendre sa suite. Et la querelle, familiale et politique, est loin d’être réglée.
Les cadres du Parti démocratique de Côte d’Ivoire ont désigné Cowppli-Bonny Kwassi Alphonse comme président par intérim. Un choix pour maintenir la cohésion, avant que ne s’ouvre l’inévitable bataille de succession.
Le PDCI et le PPA-CI présenteront des candidatures communes aux élections municipales et aux régionales prévues le 2 septembre, mais s’affronteront dans certaines zones. Une situation susceptible de créer des frustrations dans le camp de Laurent Gbagbo.
La Commission électorale indépendante a annoncé mercredi avoir « exceptionnellement » repoussé au 23 juillet la date limite de dépôt des candidatures pour les élections municipales et régionales du 2 septembre.
Le vice-président du PPA-CI, Stéphane Kipré, a rejoint la liste du président sortant du conseil régional du Haut-Sassandra et candidat du PDCI, Alphonse Djédjé Mady, pour les locales du 2 septembre. Pour les autres communes et régions, les discussions entre les deux partis se poursuivent.
En Côte d’Ivoire, en dépit d’une loi censée leur favoriser l’accès aux assemblées élues depuis 2019, les femmes sont encore trop souvent absentes des listes de candidats pour les scrutins municipaux et régionaux du 2 septembre.
Accusé par la justice internationale d’avoir commis des crimes contre l’humanité lors de la crise postélectorale de 2010-2011 en Côte d’Ivoire, l’ancien ministre de la Jeunesse de Laurent Gbagbo a passé six années en détention.
Le ministre ivoirien de la Promotion de la jeunesse, porte-parole adjoint du parti présidentiel et du gouvernement, explique comment se concrétise le « plan Marshall » pour la jeunesse annoncé par Alassane Ouattara. Et décrypte les enjeux des scrutins locaux du 2 septembre prochain.
En Côte d’Ivoire, le candidat du PDCI à la mairie de la plus grande commune d’Abidjan entend incarner une troisième voie entre le président de l’Assemblée nationale et le fils de l’ancien président Laurent Gbagbo.
Le président ivoirien a choisi Éric Taba pour être le candidat du RHDP aux élections municipales du 2 septembre à Cocody. Il tentera d’y reprendre la mairie à un poids lourd du PDCI, Jean-Marc Yacé.
Le PDCI et le PPA-CI veulent s’allier pour les élections municipales et régionales du 2 septembre. Mais des blocages persistent dans certaines zones et pourraient compromettre leur projet d’union face au RHDP d’Alassane Ouattara.
Les éditions de la Fondation Félix-Houphouët-Boigny publient des ouvrages consacrés à la vie et aux combats de l’ancien président. En privilégiant les sujets académiques aux romans et à la poésie, la jeune maison veut inciter les étudiants à devenir des chercheurs.
L’ancien président ivoirien a déposé un recours ce 8 juin pour obtenir sa réinscription sur les listes électorales avant les locales, prévues le 2 septembre prochain.
À quelques mois des élections municipales et régionales, les partis politiques – celui de Laurent Gbagbo en tête – remettent en question la fiabilité du fichier électoral et l’impartialité de la CEI.
Le président exécutif du PPA-CI tentera de prendre la tête du conseil régional du Cavally, dans l’ouest du pays, dirigé par la ministre de la Fonction publique depuis 2018.