Le général à la retraite Gaston Ouassénan Koné, 79 ans, vice-président du PDCI et proche d’Henri Konan Bédié, affirme avoir été victime d’un empoisonnement. Si les circonstances restent encore floues, l’affaire provoque la psychose dans les rangs des opposants.
La violence s’est une fois encore invitée à Duékoué, dans le centre-ouest de la Côte d’Ivoire. Au cœur de cette nouvelle déflagration : une curieuse vendetta, conduite lundi 26 novembre par un gang de syndicats de transporteurs contre des élèves, dans le lycée de la ville.
Selon le rapport mondial du Programme commun des Nations unies sur le VIH/sida (Onusida), rendu public jeudi 22 novembre à Abidjan, le nombre de personnes vivant avec le VIH est passé de 36,3 millions en 2016 à 36,9 millions en 2017, tandis que le nombre de décès a été réduit de 990 000 à 940 000.
Lors des audiences en vue de l’examen de la demande d’acquittement introduite par les avocats de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, l’équipe de défense de l’ex-ministre de la Jeunesse s’est employée à démonter l’accusation visant à le présenter comme un acteur majeur du plan commun de Laurent Gbagbo.
Les audiences en vue de l’examen de la demande d’acquittement introduite par Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé ont repris lundi 19 novembre à la Cour pénale internationale (CPI). Les avocats de Charles Blé Goudé se sont employés à minimiser le rôle de celui qui était qualifié de « général de la rue », notamment dans la création de la milice pro-Gbagbo du Groupement des patriotes pour la paix (GPP).
Au troisième jour de la reprise du procès devant la Cour pénale internationale (CPI) de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, poursuivis pour crimes contre l’humanité, la défense de ce dernier a rejeté les accusations du procureur, essentiellement fondées, selon elle, sur des « ouï-dire ».
Au deuxième jour de la reprise du procès devant la Cour pénale internationale de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, poursuivis pour crimes contre l’humanité pour des faits datant de la crise postélectorale, la défense a remis en cause l’authenticité des preuves présentées par le procureur.
Au cinquième jour de la grève lancée par douze syndicats du secteur de la santé en Côte d’Ivoire, les autorités et les leaders de la contestation semblent ne pas parler le même langage. Dans les hôpitaux publics, la situation devient de plus en plus alarmante.
Quand se fera la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) en Côte d’Ivoire ? Et quel en sera l’ampleur ? Au lendemain des élections locales du 13 octobre, le sujet est au centre du débat en Côte d’Ivoire.
La succession d’Aboudramane Sangaré, membre fondateur du Front populaire ivoirien (FPI) et président par intérim de la branche dissidente, décédé le 3 novembre, révèle des rivalités internes au sein du parti de Laurent Gbagbo.
La justice ivoirienne a procédé à l’inculpation, le 31 octobre, d’Adama Kamagaté, directeur de campagne adjoint du maire sortant de Grand-Bassam (PDCI), qui conteste l’élection à la mairie, de son rival du RHDP.
Entre soupçons de corruption, démentis et mises au point, la confusion règne autour des élus indépendants ayant rallié le RHDP, la mouvance présidentielle, à l’issue des élections locales du 13 octobre.
Si le RHDP, la mouvance présidentielle, a nettement remporté les élections locales du 13 octobre, le PDCI a amélioré son score de 2013, sans pour autant faire le poids, et certains petits partis ou indépendants ont confirmé leur présence. Décryptage.
Trois jours après les élections locales du 13 octobre, des violences et des contestations continuaient d’éclater après la publication des résultats provisoires. Plusieurs localités sont concernées par ces incidents qui remettent en cause l’indépendance et la compétence de la Commission électorale indépendante (CEI).
Les résultats provisoires des élections couplées – municipales et régionales – continuaient d’être communiqués par la Commission électorale indépendante (CEI), lundi 15 octobre dans la soirée, deux jours après le scrutin. Selon les premiers résultats connus, encore partiels, le RHDP (mouvance présidentielle) est en tête, tandis que plusieurs barons confirment leur puissance électorale dans leur fief.
Trois raisons ont poussé Henri Konan Bédié à convoquer prochainement un congrès extraordinaire de son parti, le PDCI. Une décision qui intervient dans un contexte politico-judiciaire sans précédent pour le « vieux parti ».
Les juges de la Cour pénale internationale (CPI) chargés du dossier de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé ont reporté au 12 novembre les audiences en vue de l’examen de la demande d’acquittement introduite par la défense.
Au deuxième jour des audiences visant à analyser la demande de « non-lieu total » introduite par l’équipe de défense de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, le bureau de la procureure de la CPI s’est employé à démontrer que les deux accusés méritent d’être maintenus en prison.
Le procès de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et de son ancien ministre de la Jeunesse, Charles Blé Goudé, à la Cour pénale internationale (CPI), a repris le lundi 1er octobre après des mois d’interruption. Le bureau de la procureure a notamment plaidé pour que le procès aille jusqu’à son terme.
La campagne pour les élections municipales et régionales couplées du 13 octobre s’est ouverte vendredi 28 septembre dans un contexte de tension politique entre anciens alliés au sein de la mouvance présidentielle et de boycott d’une partie de l’opposition.
Cinq mois après son ouverture officielle, le Sénat ivoirien n’est toujours pas véritablement fonctionnel. Entre calculs de politiciens, ressources financières insuffisantes et problèmes techniques, le Sénat peine à trouver ses marques.
Justin Koua, secrétaire national de la Jeunesse du Front populaire ivoirien (FPI de Laurent Gbagbo), a été libéré le vendredi 21 septembre après avoir passé la nuit en garde à vue, à la suite de ses propos violents contre le président Alassane Ouattara.
Nouvel épisode dans la crise qui secoue le PDCI sur la question du ralliement au RHDP, le parti unifié. Une décision de justice a invalidé le 19 septembre la décision du bureau politique du parti avalisant le report de l’alliance avec la coalition présidentielle à après la présidentielle de 2020.
Le ton monte progressivement depuis quelques semaines sur la scène politique ivoirienne. Une escalade verbale qui fait planer le spectre d’un retour des discours de haine qui ont marqué la décennie de crise militaro-politique.
Loukimane Camara et Issiaka Fofana ont été convoqués dans le cadre d’enquêtes sur des soupçons de malversations dans des entreprises publiques qu’ils dirigeaient. L’entourage des deux hommes, proches de Guillaume Soro, dénonce des manœuvres d’intimidation.
Un mois après l’ordonnance d’amnistie prise par le président Alassane Ouattara en Côte d’Ivoire, la plupart des personnes détenues suite aux événements de la crise postélectorale de novembre 2010 à avril 2011 ont été libérées. Quant aux exilés politiques, la majorité est encore hésitante.
Divisé entre candidats favorables et hostiles au RHDP, le PDCI d’Henri Konan Bédié est secoué jusque dans ses bases, alors que la publication de la liste des candidats aux élections locales est prévue mardi 11 septembre.
Alcide Djédjé, 62 ans le mois prochain, désormais ex-cadre du Front populaire ivoirien (FPI de Laurent Gbagbo), a profité d’une conférence de presse le 4 septembre pour évoquer les luttes de clan au sein des partisans de Gbagbo lors de la crise postélectorale.
La publication des listes de candidats aux élections locales du PDCI et du RHDP a étalé au grand jour la confusion qui règne au sein des directions des principaux partis ivoiriens.