Au deuxième jour de son témoignage au procès de Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, à la Cour pénale internationale (CPI), ce mercredi 8 novembre 2017, le général Firmin Detoh Letoh, ex-commandant des Forces terrestres, est revenu sur le bombardement d’un marché et la répression d’une manifestation de femmes favorables à Alassane Ouattara à Abobo, une commune d’Abidjan, ainsi que sur le rôle de Charles Blé Goudé et du commandant Jean-Noël Abéhi.
Au premier jour de son témoignage au procès de Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, à la Cour pénale internationale (CPI), ce mardi 7 novembre 2017, le général Firmin Detoh Letoh est revenu sur son rôle lors de la crise postélectorale, sur les instructions données par l’ex-chef d’État et sur ses relations avec le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées.
Firmin Detho Letoh, 61 ans, est le cinquième général ivoirien ayant occupé un poste important dans le dispositif sécuritaire sous Laurent Gbagbo appelé à témoigner, ce mardi 7 novembre 2017, dans le procès de celui-ci et de son bras droit Charles Blé Goudé, à la Cour pénale internationale (CPI).
Raymonde Goudou Coffie, 62 ans, a commencé à militer pour le PDCI en 2000 et aujourd’hui elle est à la tête d’un ministère dans le gouvernement d’ADO. Elle fait partie des 20 femmes les plus influentes de Côte d’Ivoire identifiées par Jeune Afrique.
Affoué Delphine Noël, 41 ans, est présidente du réseau des cadres du PDCI depuis 2017 et adjointe au maire de Cocody. Elle fait partie des 20 femmes politiques les plus influentes de Côte d’Ivoire identifiées par Jeune Afrique.
Kaba Nialé, 55 ans, fait partie du gouvernement d’Alassane Ouattara depuis 2012. Elle fait partie des 20 femmes les plus influentes de Côte d’Ivoire identifiées par Jeune Afrique.
Le bras-de-fer qui se joue depuis plusieurs semaines au Togo autour de la réforme de la Constitution ne pourra se terminer que si les différentes parties acceptent de rejoindre la table des négociations. Faute de quoi le pouvoir pourrait faire face à un scénario de type burkinabè, tandis que l’opposition pourrait s’enliser dans une impasse à la burundaise.
Rentré dimanche soir en Côte d’Ivoire après plus de deux mois d’absence, le président de l’Assemblée nationale s’est affiché en partisan du dialogue. Focus sur un retour très préparé.
Abidjan a mis les petits plats dans les grands pour recevoir la délégation de politiques et d’hommes d’affaires belges conduite par la princesse Astrid, sœur du roi Philippe de Belgique. Ce lundi 23 octobre 2017, les officiels ivoiriens et belges ont ouvert, à Cocody, commune d’Abidjan, le forum économique belge en présence des dirigeants et des représentants de 134 entreprises belges, qui ont spécialement effectué le déplacement.
Le président ivoirien Alassane Dramane Ouattara est arrivé lundi à Accra pour une visite de deux jours à son homologue ghanéen Nana Akufo-Addo. Après le récent verdict rendu par le Tribunal international du droit de la mer en faveur du Ghana, les deux chefs d’État ont eu à cœur de placer cette rencontre sous le signe de l’amitié.
Le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées ivoiriennes lors de la crise post-électorale, s’est à nouveau exprimé à La Haye mercredi 4 octobre, 8e jour de son témoignage devant la CPI dans le cadre du procès de Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé.
Le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées ivoiriennes lors de la crise post-électorale, s’est exprimé mardi devant la CPI au sujet des munitions entreposées à la présidence et de l’armement dont disposaient le Cecos et la Garde républicaine.
L’ancien chef d’état-major de l’armée ivoirienne témoigne à charge, depuis le 25 septembre, devant la Cour pénale internationale au procès son ancien mentor, Laurent Gbagbo.
Entendu par la Cour pénale internationale dans le cadre du procès de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, le général Philippe Mangou, ancien chef d’état-major des armées du président Gbagbo, est soumis depuis ce lundi 2 octobre aux questions de la défense. Hier, il a livré sa part de vérité sur les journées chaotiques d’avril 2011.
C’est la surprenante déclaration qu’a livré l’ancien chef d’état-major de Laurent Gbagbo à la barre de la Cour pénale internationale, ce lundi 2 octobre. Interrogé par la défense de l’ancien président ivoirien le général Philippe Mangou est revenu dans le détail sur le financement de cette milice d’anciens rebelles qui combattaient les forces pro-Gbagbo pendant la crise post-électorale.
Au quatrième jour de son témoignage à la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès de l’ancien chef d’État ivoirien Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées, est revenu jeudi 28 septembre sur la question des mercenaires et des miliciens, utilisés par le camp Gbagbo, ainsi que sur la répression de certaines manifestations proches d’Alassane Ouattara lors de la crise postélectorale.
Au troisième jour de son témoignage devant la CPI, mercredi 27 septembre, dans le procès Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées, est revenu sur l’attitude jugée par moments « inamicale » de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) et sur les décrets signés par Laurent Gbagbo instaurant des couvre-feux sur l’étendue du territoire ivoirien.
Au deuxième jour de son témoignage à la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, mardi 26 septembre, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées ivoiriennes, est largement revenu sur les circonstances de la démission envisagée par l’ancien chef de l’État et l’utilisation de mercenaires par ce dernier.
Jamais, depuis son arrivée contestée au pouvoir, le président Gnassingbé n’avait fait face à une telle fronde. D’abord surpris, mais conscient de ce qui se joue, le gouvernement resserre les rangs…
C’est un officier général très attendu qui témoigne depuis lundi à la barre de la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès de l’ex-chef de l’État ivoirien Laurent Gbagbo et de son bras droit, Charles Blé Goudé. Voici ce qu’il a dit le premier jour de son audition.
Selon Payadowa Boukpessi, ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités locales, les opposants qui invoquent la Constitution de 1992 pour rejeter une éventuelle nouvelle candidature de Faure Gnassingbé à la présidentielle en 2020 se livrent à « un faux procès ».
Que s’est-il passé le 19 août dernier lorsque deux personnes ont trouvé la mort ? Des caches d’armes existent-elles ? Quel est le dispositif de sécurité prévu pour les manifestations des 20 et 21 août ? Yark Damehane, ministre de la Sécurité et de la Protection civile, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Selon des documents consultés par Jeune Afrique, le texte du projet de révision constitutionnelle validé en conseil des ministres le mardi 5 septembre porte sur trois articles touchant aux mandats électifs du président de la République et des parlementaires. Mais alors que l’opposition espérait que son examen au Parlement débute ce mardi 12 septembre, celui-ci a été reporté. À la place, la session extraordinaire sera consacrée au budget. Ce qui n’a pas manqué de provoquer la colère de l’opposition, qui a appelé à manifester le même jour à proximité du Parlement.
Après un mois de vacances, le gouvernement ivoirien reprend du service ce mardi 5 septembre 2017 et tient un conseil de gouvernement qui sera présidé par le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly. Plusieurs dossiers urgents attendent ce dernier et ses ministres.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
Le troisième congrès ordinaire du Rassemblement des républicains (RDR), le parti d’Alassane Ouattara, aura lieu à Abidjan les 9 et 10 septembre. Ce sera le plus important en termes d’affluence, prévient Amadou Soumahoro, son secrétaire général par intérim.
Alors que les mutineries n’ont pas toutes cessé, le pays fait face à une nouvelle forme de menace : celle de commandos d’hommes armés qui multiplient leurs attaques. Si les méthodes convergent, leurs objectifs, eux, semblent différents.
Le commissariat de police d’Adzopé (sud de la Côte d’Ivoire) a été la cible d’une attaque, entre 3h et 4 du matin, ce vendredi 4 août 2017. Aucun mort, ni blessé grave n’est à déplorer.
Ancien ministre des Droits de l’homme de Laurent Gbagbo, secrétaire général adjoint et porte-parole principal du Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel) depuis mars 2012, Joël N’Guessan, 61 ans, est réputé pour son franc-parler. Il livre son sentiment sur la situation sociopolitique, ainsi que ses aspirations pour le pays.