De Paris à Johannesburg en passant par les capitales du Maghreb et celles de l’ex-pré carré de la France, la disparition d’Omar Bongo Ondimba suscite une réelle émotion. Un sentiment étroitement lié à la nature des relations que le Gabon entretenait avec chacun de ces pays depuis plus de quarante ans.
Plus question, cette fois, de susciter de polémique sur les exclus du suffrage universel : tous les Ivoiriens qui veulent voter pour la présidentielle du 29 novembre le pourront. La Commission électorale indépendante (CEI) a promis et répété qu’elle ne laisserait aucun électeur privé de ses droits. En pratique, pourtant, les choses ne sont pas si simples.