Cybercriminalité, virus, spams… Des attaques qui touchent les entreprises africaines auxquelles une poignée de grandes sociétés d’outre-Atlantique apportent des solutions de sécurité.
L’énorme besoin d’informatisation des acteurs des télécoms et de la finance, en plein essor sur le continent, conduit les multinationales à mieux se positionner en Afrique afin de se disputer les plus grosses parts d’un marché informatique qui pèsera 4,5 milliards de dollars en 2010.
En lançant début 2010 une berline au Maghreb, le constructeur propose de nouveaux modèles dans la région et compte surfer sur le succès de sa low cost Dacia.
La régionalisation de la distribution de véhicules entraîne une concentration des acteurs au profit des sociétés familiales locales et des groupes internationaux.
En subissant un faible recul des ventes – entre 10 % et 15 % -, le commerce de véhicules sur le continent résiste à la récession mondiale du secteur. Reste à savoir si ce ralentissement va s’accentuer jusqu’à la sortie de crise, prévue en 2010.
Alors que plusieurs concessionnaires sont sur les rangs, le renouvellement du parc sénégalais de véhicules urbains, qui concerne essentiellement 10 000 taxis dans la capitale, patine.
Sous-équipement, sous-capacité, vétusté des infrastructures… De nombreux pays africains ont du mal à combler leurs besoins énergétiques à cause d’un déficit à la fois d’investissements et de volonté politique. Seul le maghreb, plus développé, tire son épingle du jeu en s’arrimant peu à peu à l’Europe.
Sous la pression de la junte militaire au pouvoir depuis fin 2008, Rio Tinto a annoncé le 23 juillet qu’il allait « procéder immédiatement au retrait de ses équipements des deux blocs d’exploration nord du gisement de fer de Simandou », l’une des plus importantes réserves de minerai de fer du monde.
Tirés notamment par la demande chinoise, les prix des matières premières remontent. Les pays producteurs africains peuvent espérer renflouer leurs caisses.