Affaiblies par la crise, plongées dans l’incertitude, les multinationales reportent ou annulent leurs projets d’investissements sur le continent. Les mines, l’immobilier, le tourisme et l’industrie sont les secteurs les plus touchés.
Le rachat des activités africaines du koweïtien Zain négocié actuellement par le français Vivendi s’inscrit dans un mouvement général de concentration des grands opérateurs internationaux sur le continent.