L’INTERVIEW ÉCO – Ambitions vertes, nouveaux appels d’offres, partenariats en Afrique subsaharienne… Le nouveau directeur général de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) nous avait accordé sa dernière interview en tant que patron de la « super agence » Masen.
À contre-pied d’une idée largement dominante, le géant américain croit en l’avenir du gaz comme énergie incontournable pour parvenir à une transition énergétique en Afrique. Le président et CEO Europe, Moyen-Orient et Afrique de Gas Power, chez GE Vernova, revient pour « Jeune Afrique » sur la stratégie et les défis du groupe sur le continent.
Face à la contre-performance de la société publique de gestion de l’électricité, le pays dirigé par Denis Sassou Nguesso se tourne vers le secteur privé, aussi bien pour la production que le transport et la distribution. « Jeune Afrique » dévoile les grandes lignes de cette réforme.
Près de cinq ans après avoir confié à l’énergéticien norvégien la construction d’une centrale solaire de 200 mégawatts, les autorités tunisiennes viennent de réattribuer le marché à un concurrent émirati. Plongée dans les coulisses de ce revirement.
LE MATCH DE LA SEMAINE – Jusque-là absente du marché interne marocain, la compagnie low cost irlandaise vient de lancer onze lignes domestiques. De quoi contrarier les activités d’Air Arabia Maroc, contrôlé par la famille Bensalah et Othman Benjelloun.
Gigafactories, hydrogène vert, généralisation de la protection sociale, taux de chômage record… Le successeur de Moulay Hafid Elalamy au ministère marocain de l’Industrie fait le point, sans langue de bois, sur les chantiers économiques en cours et leurs répercussions sur l’économie du royaume.
À la tête du groupe Dislog, en pleine expansion en Europe, l’ancien ministre marocain évoque ses ambitions et les caractéristiques du système insufflé par Mohammed VI au cours des vingt-cinq dernières années.
Tarik Hamane, le nouveau directeur général, déploie sa stratégie de transformation de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE). Coulisses.
En froid avec les autorités tunisiennes, le consortium franco-marocain s’est fait remplacer par le français Voltalia dans la réalisation de la centrale photovoltaïque de Gafsa.
Recherche et développement, financement, régulation… Plusieurs pays du continent se mettent en ordre de marche pour prendre le train de l’intelligence artificielle. D’autres sont encore à la traîne.
Après avoir fait l’acquisition de Lekela Power, la coentreprise entre l’égyptien Infinity et l’émirati Masdar est devenue le plus grand producteur d’énergie renouvelable sur le continent, où elle multiplie les projets dans l’éolien, le solaire et l’hydrogène vert. Son président, le milliardaire égyptien Mohamed Ismail Mansour, dévoile à Jeune Afrique sa stratégie et ses ambitions.
Défaillances des réseaux de distribution et de transport, rôle du secteur privé, place du gaz dans la transition énergétique, crise de l’industrie éolienne, rôle de l’offgrid… Le responsable des infrastructures de la filiale de la Banque mondiale revient pour Jeune Afrique sur les grands enjeux énergétiques du continent.
Organisé dans la capitale marocaine, le premier sommet africain de haut niveau sur l’intelligence artificielle a laissé entrevoir, en coulisses, des atermoiements et quelques frictions au sein de l’organisation continentale.
En tête de l’industrie mondiale de l’atome, la Russie et la Chine entendent marquer de leur empreinte de nouveaux territoires sur le continent africain. Aux dépens de Paris et de Washington.
Algérie, Kenya, Maroc, Rwanda… ces dix dernières années, la Russie a multiplié les partenariats nucléaires sur le continent. Mais que valent-ils vraiment ?
De l’Éthiopie à la Tunisie, en passant par le Burkina, le Mali ou encore l’Ouganda, les accords nucléaires avec le russe Rosatom se suivent et se ressemblent. À y regarder de plus près, toutefois, aucun de ces projets n’a connu la moindre avancée. Et pour cause.
Après la découverte de plusieurs gisements de gaz naturel, les spéculations vont bon train sur les capacités du royaume à couvrir ses propres besoins, voire à exporter. Qu’en est-il vraiment ?
Patronat, OCP, ministère de l’Industrie, Masen, Royal Air Maroc… À l’Africa CEO Forum, plusieurs représentants des secteurs public et privé ont vanté les opportunités d’investissements dans le royaume.
Grands pourvoyeurs d’emplois dans plusieurs pays en Afrique, de nombreux secteurs doivent désormais s’adapter à l’intelligence artificielle. Au risque de s’effacer.
Après avoir échoué pendant plus deux ans à céder sa filiale marocaine Lydec au nouveau Suez, le groupe français a enfin trouvé un nouvel acquéreur. Mais à quel prix ? Chronique d’une affaire aux accents diplomatiques.
L’emblématique patronne de l’empire marocain du vin a fait discrètement appel à une importante institution internationale pour assurer la pérennité de son groupe et préparer son introduction en Bourse. Mais ce ne sont pas les seules raisons…
Le patron de Saham Group met enfin la main sur la filiale marocaine du géant bancaire français. Mais l’opération ne sera effective qu’après le feu vert de la Banque centrale et celui du Conseil de la concurrence.
Hydrogène, ammoniac vert, technologie… Les deux mastodontes miniers veulent créer « une entreprise de pointe mondiale » afin de répondre aux besoins du Maroc, mais aussi à ceux des marchés internationaux.
Grand pourvoyeur d’emplois dans plusieurs pays du continent, le secteur des services externalisés doit s’adapter à l’intelligence artificielle et aux nouvelles évolutions technologiques.
Appelé à constituer un « tournant pour l’économie marocaine », le « pétrole vert » est désormais au cœur de la stratégie énergétique du royaume. Plusieurs géants du secteur sont d’ores et déjà dans les starting-blocks.
Après avoir cédé son pôle assurances et ses activités d’offshoring, l’homme d’affaires qualifié de « plus cash du royaume » s’apprête à faire son entrée dans la banque à travers le rachat du groupe Société générale Maroc. Retour sur le parcours d’un homme d’affaires qui fascine autant qu’il trouble.
Après avoir fait carrière dans l’Hexagone et en Afrique subsaharienne, ce féru de mathématiques a réussi à donner une nouvelle envergure au géant minier marocain. Plongée dans son parcours et ses relations.
Premier producteur mondial d’engrais phosphatés, le groupe marocain dirigé par Mostafa Terrab ne cesse de s’étendre et de se diversifier. Il mène aujourd’hui de front plusieurs chantiers aussi ambitieux que stratégiques pour le royaume. Au risque de s’éparpiller ?