L’ancien président devrait rentrer définitivement au Botswana le 20 septembre pour répondre aux accusations portées contre lui et aider l’opposition à faire campagne pour les élections générales.
Alors que le parti uMkhonto weSizwe (MK) s’apprête à faire son entrée au Parlement, il est secoué par une frénésie d’embauches, mais aussi de licenciements. Objectif : s’assurer de la loyauté des uns et des autres.
Qui va gouverner l’Afrique du Sud ? Sans majorité claire au Parlement, une coalition entre de grands partis pourrait voir le jour. Et possiblement entre l’ANC et l’Alliance démocratique. The Africa Report a pu s’entretenir avec la cheffe de file de ce parti, Helen Zille.
L’ANC est donnée en tête des élections générales, mais d’une très courte avance. Pour la première fois depuis la fin de l’apartheid, le parti devrait, selon toute vraisemblance, perdre sa majorité au Parlement, selon des résultats encore partiels. Le décompte continue, mais déjà se pose la question de l’avenir du président actuellement en poste.
Suspendu de l’ANC en janvier après avoir annoncé faire campagne pour un parti dissident, l’ex-chef de l’État sud-africain pourra se présenter aux élections générales prévues le 29 mai.
Le président sud-africain, qui a déployé des troupes dans l’est de la RDC face aux rebelles du M23, prendra part aux commémorations organisées à Kigali. Il pourrait aussi s’entretenir avec Paul Kagame.
Le président ukrainien devrait effectuer sa première visite sur le continent en Afrique du Sud, qui entretient des relations avec la Russie depuis l’époque de la lutte contre l’apartheid.
Populistes et sans vergogne, les anciens présidents américain et sud-africain présentent de troublants points communs. Si leurs ambitions diffèrent, ils n’en constituent pas moins les deux faces d’une même pièce.
Célébrant l’anniversaire de l’ANC, le président sud-africain a tenté de remobiliser son électorat en amont d’élections générales qui s’annoncent très risquées.
Un rapport parlementaire accusant le président sud-africain de corruption ouvre la voie à une procédure de destitution au sein de l’ANC. S’il semble décidé à se battre jusqu’au bout pour conserver son poste, Cyril Ramaphosa n’a jamais été en situation aussi périlleuse.
Président du groupe suisse Richemont, de la société sud-africaine Remgro et de l’organisme de placement luxembourgeois Reinet Investments, Johann Rupert est aujourd’hui l’un des hommes les plus riches d’Afrique du Sud. Au sein de son carnet d’adresses, les hommes d’affaires influents côtoient les politiques les plus puissants.
LE PORTRAIT ÉCO DE LA SEMAINE. Le secrétaire exécutif de l’Initiative Côte d’Ivoire-Ghana croit dur comme fer que la Zlecaf peut assurer un revenu digne aux producteurs de cacao. Et encourager la transformation locale qui ferait du continent un acteur incontournable et sérieux du commerce international.