Alors que la saison des récoltes approche, l’Éthiopie, la Somalie et le Kenya sont particulièrement touchés par la prolifération des criquets pèlerins. La Banque mondiale a approuvé une aide de 500 millions de dollars pour l’Afrique de l’Est.
Si, pour l’instant, le virus épargne relativement le pays, ses effets sur l’économie se sont rapidement fait sentir. Le secteur touristique ne cache pas son inquiétude.
Alors que son concurrent Nakumatt ferme définitivement ses portes au Kenya, la chaîne de grande distribution Naivas renforce sa position de premier sur le marché compétitif en s’alliant avec le fonds d’investissement français Amethis.
Alors que l’invasion dévastatrice de criquets pèlerins continue de s’étendre en Afrique de l’Est et qu’une nouvelle vague de ce fléau se prépare, au Kenya, l’option de la pulvérisation de pesticides est la seule possible. Malgré les risques pour l’environnement.
Avec le soutien du japonais ToyotaTsusho Corporation, la start-up kényane spécialisée dans la logistique vient de boucler une levée de fonds de 18 millions d’euros.
Depuis des semaines, la Corne de l’Afrique est confrontée à une invasion de criquets d’une ampleur inédite. Un fléau dont l’ampleur a été accentuée par le dérèglement climatique, qui menace aujourd’hui l’économie kényane.
Le Kenya, berceau du paiement mobile, est aussi en pointe sur le développement de la blockchain. Cette technique y est utilisée pour échanger des marchandises, assurer la traçabilité des produits ou même acquérir des obligations d’État.
Les bailleurs de la chaîne de supermarchés Nakumatt, en difficulté depuis trois ans, viennent de décider de la liquidation de l’entreprise. Les investissements à fournir ont paru trop importants et l’équilibre financier difficile à atteindre.
Les échanges illicites sont dans le viseur du gouvernement kenyan, qui, après une série de lois restrictives, a entrepris de sortir les billets les plus fréquents de la circulation pour lutter contre l’évasion fiscale et le blanchiment d’argent. La mesure parachève la surveillance de la monnaie mobile et la répression des cryptomonnaies décentralisées.
Depuis trois ans, les taux d’intérêt des prêts bancaires sont plafonnés. La mesure, combattue depuis le début par les banques, affiche un bilan décevant d’après le FMI. Le président Uhuru Kenyatta veut supprimer ce plafond, quitte à affronter une fronde parlementaire.